Végéta : le passé rattrape le présent

Vraiment super les chapitres continue
P.S : Oublier pas d'aller voir la mienne.

Waaaah !!!
Ca faisait un bail !!!
[cinq jours anji...]
Tais-toi toi ! C'est un bail pour moi.

Alors, les paroles en gras sont les conversations mentales.


- Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ? lâcha Yamcha après le départ de Swan qui leur avait assuré que Tavila s'était fichue d'eux en parlant de peine de mort pour manque de respect.
Personne ne répondit.
- D'abord Végéta se fait attaquer alors qu'il était chez Bulma, en pleine nuit, et puis on se retrouve tous ici, personne ne sait comment, Végéta manque de mourir, il connaît tout le monde et tout le monde le connaît, nous on est là comme des cons sans savoir seulement où on est !
- On n'aurait pas dû laisser partir Bulma, dit Sangoku.
- Têtue comme elle est, de toute façon, ça n'aurait servi à rien, argua Krilin. Mais j'aimerais bien savoir où on est.
- Ça n'a pas l'air d'aller avec Bulma, ces temps-ci, d'ailleurs, dit Sangoku à Yamcha.
Il fronça les sourcils, se rappelant la scène.
- Elle... On a rompu, dit-il finalement.
Tout le monde s'étonna.
Tout le monde ?
Euh, non.
Sangoku avait un grand sourire sur le visage qu'il tenta de dissimuler sans résultats.
Je ne pensais pas que ça irait si vite !


Je vais t'étrangler.
Il ne reçut pour toute réponse qu'un ricanement mental.
Végéta réprima un grognement et se concentra sur ce que disait Lisbeth.
Elle parlait depuis presque vingt minutes.
Il allait devenir fou.
Ou commettre un meurtre.
Cela dit, l'un n'empêchait pas l'autre.
- Je crois qu'il ne t'écoute pas, Lisbeth, gloussa l'Empereur. Encore un mot sur l'exportation des siffleurs et il te fait avaler ton rapport.
L'Impératrice se carra sur son siège et retint aussi un grognement.
Vous avez faillit avoir la même réaction !
Ferme la Jenifaël, je vais vraiment t'étrangler.
Jenifaël gloussa mentalement mais resta de marbre en apparence.
L'Empereur se servit une coupe de corma et resservit à ses héritiers.
- Ce soir Végéta, un banquet sera donné en l'honneur de ton retour.
Végéta s'étouffa avec la corma qu'il venait de boire.
Tu le savais !
Hmmm... Oui.
Végéta fusilla sa jumelle du regard.
- Je suppose que je suis obligé d'y assister, grommela-t-il, ce qui ne faisait pas très impérial.
L'Empereur sourit, connaissant la répugnance de son héritier des bals.
- Cette jeune terrienne... commença-t-il.
Végéta s'étrangla une nouvelle fois et Jenifaël lui tapa dans le dos en réprimant avec beaucoup de difficultés son sourire.
- Je disais donc, cette jeune terrienne est tout à fait charmante. Je l'ai envoyée chez les Sœurs de la Soie afin qu'elle ait des vêtements présentables pour ce soir.
Sur la bouche de Végéta se forma un sourire cruel.
- Faites ce que voulez d'elle Votre Majesté Impériale. Elle ne m'est plus d'aucune utilité, à présent.

Ah oé, il dit cela, mais il nen pense rien du tout
pas vrai ma choute d'am d'am ........... pas vrai, hein !!!


Et bin d'abord, jte parle plus parce ton chapitre est trop trop court
et pis après jte parle plus parce que tu t'arrêtes là, comme ça, sans plus d'explication..


niaaaaaaah !

Alors, pour ma choute d'am d'am que j'avais pas vue depuis... euh... longtemps XD, je mets la suite.
'Tin la misère quand même ta connexion choute' !!!!!!!!


Les torches fixées au mur projetaient des ombres mouvantes sur les murs et le plafond. Malgré leur chaleur et leur lumière, tout dans la pièce respirait le mal, la peur, la douleur. L'ambiance était aussi glaciale que la température.
De l'ombre jaillit soudain un rire.
Un rire triomphant.
Un rire glacé.
Un rire démoniaque.
Non, ce n'est pas Végéta qui rit.
- Enfin, jubila l'ombre. Enfin. J'ai attendu toutes ces années. Et voilà que le destin m'offre une chance d'obtenir à la fois Végéta et Jenifaël'tylanhem et ce que je cherche depuis tant de temps.
Il recommença à rire puis congédia les Mercenaires qui lui avaient apporté cette information qui allait changer tous ses plans.
Puis il s'arrêta brusquement.
Et si...
Non.
Il n'avait pas fait tous ces efforts, attendu si longtemps, fait autant de sacrifices pour ça. De toute façon, les probabilités étaient quasi-nulles.
Et il avait son petit joker...
Et pourtant...
Le doute s'immisça dans son esprit.
La chance pour que cela se produise était infime.
Mais cependant...
L'ombre se redressa brusquement sur son trône d'hématite.
Il ne l'avait pas prévu comme ça.
En fait, faire ça lui coûtait énormément.
Il aurait voulu ne jamais arriver à une telle extrémité.
Mais s'il n'y avait que cette solution...
- Selenba !
La vampyr se présenta immédiatement devant lui.
- Sombre Seigneur ?
- Je veux que tu te rendes au Palais Impérial. Là-bas, tu prendras contact avec qui tu sais.
La vampyr acquiesça d'un signe de tête.
- Et ensuite, tu ordonneras à ta sœur de faire ceci.
Il lui présenta un petit morceau de parchemin. Elle l'attrapa sans y jeter un cou d'œil.
Il n'avait pas terminé.
- Tu diras également à notre allié de faire très attention. Apparemment, ils sont coriaces.
- Bien Sombre Seigneur.
La vampyr prit congé de lui.
L'ombre se rassit confortablement.
Selenba exécuterait ses ordres.
Il aurait cependant préféré s'en tenir à son plan initial.
Il envisagea un instant de rappeler Selenba.
Mais si jamais...
Il secoua la tête.
Le risque était trop grand.
Cette solution était l'unique.
Bulma Brief devait mourir !

Bien bien

et ui ma connexion me faisant faux bon, tu dois mettre toutes tes suites....
CHANTAGE hein!!! en +, je sais meme pas si elle se coupera ou non Mouahahahaha, je suis la meilleure !

en Bref : douée en suspense dis tu ? et nous, c'est notre principal soucis !!! nous faire languir ainsi, pendant un labs de temps cours dans la vraie vie, mais long dans notre vie imaginaire, c'est méchant !! Cependant, je ne peux pas ne pas féliciter cette écriture qui est vraiment une des meilleures que j'ai jamais lu.... *Ca y est elle débloque*
En bref, tout le monde le dira, tes trop méchante de te stopper là.
Il faut ajouter quand même quuueeeee bin ton histoire prend une tournure qui ne me déplait pas ....

A quand la suite quoi !!

Continue comme sa c super ta fic

Coucou !!
Me revoilà !!
J'vous ai manqué heiiiiin XD



- Et celle là ? questionna Lavande.
- Trop... répliqua Pêche sans préciser la nature du "trop".
Lavande incanta et la robe disparut pour se retrouver dans l'immense penderie qui occupait trois des quatre murs de la pièce. Le troisième était occupé par un monumental miroir. La porte par laquelle elles étaient entrées était située à l'extrême gauche de ce miroir.
Bulma était face à ce miroir, sur un piédestal rond, et les trois jeunes femmes sortaient des tas de robes différentes et somptueuses des penderies, qui finissaient invariablement par y retourner.
- Vous êtes une cliente difficile, damoiselle Brief, dit Turquoise.
Elle ne répondit pas, ne sachant si c'était ou non un reproche.
- Noir ? demanda Pêche.
- Pas de rose pâle, de bleu ciel ou de pourpre, décréta Lavande.
- Pas de coupe Empire, par pitié ! implora Turquoise.
- Je peux donner mon avis aussi sur les robes ? interrogea Bulma.
Les trois Sœurs de la Soie se tournèrent vers elle.
- Bien sûr. Quelle couleur ?
- Oh ! s'exclama soudain Lavande, faisant sursauter tout le monde. J'en ai une ! Elle est superbe, et je suis sûre qu'elle conviendra !
Enfin, songea Bulma. Je vais peut-être pouvoir l'essayer, celle là.
Ça devait faire une heure et demie qu'elles sortaient et rangeaient des robes.
Elle n'en avait même pas essayé une seule.
Bulma n'aurait jamais pensé que ça puisse l'ennuyer de se faire faire une robe.
Le pire était que ces robes étaient toutes sublimes.
Les voir défiler était une torture pour la pauvre terrienne.
La robe que sortit Lavande était jaune, toute simple, en mousseline de soie d'aragne, avait dû coûter les yeux de la tête, et n'avait jamais dû servir.
- Elle est coupe Empire ! s'exclama Turquoise.
Aaaaaaaaaaaaargh !!!!!!


Végéta sortit du salon privé de l'Empereur sans Jenifaël, sortie plus tôt, un problème avec Kira qui devait...
En fait il n'en avait rien à foutre.
Végéta hésitait à rejoindre sa chambre ou une salle d'entraînement.
Il était environ cinq heures de l'après midi sur Autremonde, il avait tout son temps.
Sans qu'il ne s'en rende compte, ses pas l'avaient mené devant les jardins impériaux.
Végéta sursauta. Il avait marché beaucoup plus longtemps que ce qu'il n'avait cru. Les suites impériales se trouvant au troisième étage et les jardins au rez-de-chaussé, il avait dû marcher au moins une dizaine de minutes, perdu dans ses pensées.
Un bruissement le fit dresser l'oreille.
Végéta tourna la tête juste à temps pour se prendre le bébé Fée qui lui fonçait dessus comme un bolide dans les bras.
- Maïwen ! s'exclama-t-il.


- Au secours ! s'écria Bulma.
Pêche, Lavande et Turquoise s'élancèrent derrière le rideau.
Bulma était coincée dans sa robe ivoire et n'arrivait plus ni à respirer, ni à l'enlever.
Les Sœurs de la Soie, en véritables professionnelles, réprimèrent leur envie de rire et tirèrent d'un coup sec dessus. Comme par enchantement, elle retomba parfaitement sur ses jambes et s'ajusta impeccablement sur sa poitrine.
- Encore heureux que vous soyez pile de la taille standard que l'on utilise, dit Pêche.
- Oui, vous avez la taille exacte de toutes les mesures que l'on utilise, renchérit Lavande.
- Je vous avais dit que ce n'était pas une bonne idée de vous changer seule, ajouta Turquoise.
Bulma ne répondit pas. Sa pudeur l'avait empêchée de se faire changer par les trois jeunes femmes et elle le regrettait maintenant.
Elle s'avança dans la pièce pour aller face au miroir. La robe la faisait paraître comme une déesse.
Les strass dont elle était ornée formaient une rivière scintillante à la moindre de ses respirations. Les plis de la mousseline effleuraient le sol dans un doux frou-frou quand elle bougeait. Le corsage ajusté moulait idéalement sa taille fine et laissait deviner ses hanches tandis que la jupe accentuait ses jambes interminables.
- Je crois que le blanc la fait paraître plus âgée, dit Pêche.
- Oui, je vois ce que tu veux dire, répondit Turquoise.
- Pas moi ! s'exclama Bulma. Elle est géniale cette robe et je...
- Parce que vous n'êtes pas habituée à la Soie, coupa Lavande. Elle fait paraître n'importe qui magnifique, c'est pour ça qu'il faut des années et des années de maniement pour trouver les défauts dans une robe quand elle est sur une personne.
Bulma, dépitée, s'observa encore quelques instants. Cette robe était la plus belle de celles qu'elle avait vues jusqu'à présent, elle ne voyait vraiment ce qu'elles lui reprochait.
Elle décida cependant de s'en remettre à leur jugement, après tout c'étaient elles les pros.
- Vous pouvez m'aider à l'enlever ? demanda-t-elle piteusement.
Les Sœurs de la Soie sourirent et la firent monter sur le piédestal.


Kira poussa un cri de rage et recommença.
Dix-huit fois au total.
Dix-huit fois qu'elle essayait, sans résultat.
Elle ferma les yeux et concentra sa puissance magique dans ses paumes.
Les globes de lumière violette apparurent.
Elle les lança le plus fort possibles.
Il disparurent avant de toucher leur cible.
Kira hurla de dépit et de fureur.
- Recommence, ordonna Abnar.
Et Kira recommença.


- Et celle là ?
- On va pas lui faire essayer ça ! Elle ressemblerait à une meringue !
Bulma décida de ne pas prendre ça pour une insulte, mais pour... euh... bref, elle décida de ne pas prendre ça pour une insulte.
- Et la rose ?
- Pas de rose pâle, prévint Lavande.
- Non, en fait elle est plutôt violette.
Elles pouvaient toujours essayer.
Elles n'avaient jamais vu ça.
Elles avaient dû lui faire essayer au moins une vingtaine de robes différentes.
Il y avait toujours un défaut.
Quelque chose qui gâchait l'ensemble.
Même Lisbeth ne leur causait pas autant de problèmes.
Mais ce n'était pas grave.
Au contraire.
Les Sœurs de la Soie adoraient les défis.


Yamcha devait reconnaître qu'il s'inquiétait pour Bulma.
Elle avait disparu depuis près de deux heures et ils n'avaient eu aucune nouvelle.
Malgré leur rupture, il se faisait du souci pour elle !
Il devait bien être honnête avec lui-même.
En tant que fiancé, il était nul.
Il avait encore une chance de lui prouver qu'il était un bon ami.
Si cette chance passait, il ne la laisserait pas filer.
Et si la chance de la reconquérir se présentait à lui, il la saisirait.


- Vous êtes superbe, damoiselle !
Bulma devait bien reconnaître que c'était vrai.
Elle n'avait jamais été très modeste, mais là...
La robe était mauve, en satin, drapée à la taille, et un nœud de satin prune lui entourait la taille.
- Cela dit, commença Turquoise, j'ai peur que ça ne fasse un peu...
Bulma pivota sur elle-même en essayant de ne pas abîmer la jupe.
- Un peu quoi ?
- Papier cadeau... continua Lavande avec réticence.
- Surtout qu'elle est en satin, termina Pêche. Non, ce n'est pas encore celle-là.
Bulma remonta sur son piédestal pour que les filles puissent la lui enlever.
Du moment qu'elle pouvait les essayer ces robes...



Jenifaël se laissa retomber en arrière et s'appuya sur ses coudes.
La vue était imprenable de là-haut.
Tout Sarahyl lui apparaissait dans sa magnificence.
Elle laissa couler son regard sur les tours faites de pierres précieuses reliées entre elles par des passerelles arachnéennes.
Le vent frais faisait jouer ses cheveux roux, les repoussant sans cesse devant ses yeux pour ensuite les balayer vers ses oreilles.
Chaque fois qu'elle avait besoin de sérénité, elle s'éclipsait ici.
S'éclipser.
L'appellation courante de la dislocation.
Elle préférait ce terme d' "éclipses", d'ailleurs.
Jenifaël ferma les yeux et se laissa enivrer par cette merveilleuse sensation que l'on éprouve quand on est à trois cents mètres au-dessus du sol.
La liberté.
Quel dommage qu'elle doive aller voir Kira.
Elle serait bien restée ici pour l'éternité.
Jenifaël sourit.
Elle avait la même pensée à chaque fois.
Jenifaël se releva et s'éclipsa dans la Tour de Cristal à l'étage d'Abnar.


Bulma tourna sur elle même dans un lent mouvement et se prit les pieds dans la traîne de la robe.
Elle battit des bras un instant en de grands mouvements circulaires qui la déstabilisèrent un peu plus, perturbant encore un peu l'équilibre qu'elle avait du mal à garder.
Avec un bruit sourd et accompagnée d'un "aïe", elle s'écrasa au sol très inégalament sur les fesses.
Turquoise et Pêche l'aidèrent à se relever.
- A noter, gloussa Lavande. Pas de robe avec une traîne.


Illian regarda Ewilan qui attendait patiemment qu'il passe à l'acte.
Il la scruta des yeux, tentant de discerner une faille dans la détermination qu'il lisait dans les yeux violets.
En vain.
Violet, mauve, parme, violine.
Rêve, délicatesse, paix, amitié, spiritualité, douceur.
Il se plongea dans l'Imagination.
Monta dans les Spires.
Haut.
- Tombe !
Ewilan ne bougea pas.
Plus haut.
- Tombe !
Ewilan resta de marbre.
Encore plus haut.
- Tombe !
Ewilan resta immobile.


Cette fois ci, la robe était trop décolletée.
Rose vif, un superbe fuschia.
Des petits diamants sur tout le décolleté et les bretelles.
Taffetas.
L'ampleur de la jupe était telle qu'elle tournoyait sans même que Bulma ait besoin de bouger.
Mais trop décolletée.
Patience.
On va bien finir par la trouver, cette robe.
Ça prendra juste un peu de temps.
Enfin, disons beaucoup de temps.
Courage.


Swan se baissa, évitant la flèche au dernier moment.
Une seconde plus tard, elle se serait fichée dans son front.
Une seconde plus tôt, elle se serait fichée dans sa poitrine.
Erylis ajustait bien ses flèches.
Très bien.
Trop bien.
Beaucoup trop bien.
Swan jura et sortit un shuriken.
Elle ferait comme Erylis.
Attendre le dernier moment.
Le moment où on ne se méfie plus.
Le moment où on est vulnérable.


Les Sœurs en restèrent sans voix.
Trois heures et quart.
Trente quatre robes.
Une femme.
Une déesse avec cette robe.
- C'est celle là, souffla Pêche.


En comme je suis la plus géniale de toutes les choutes d'am d'am, des fifilles et de tous les chamallows du monde, je vous mets les images des robes !!!
Elles sont dans l'ordre où je les cite.

Spoiler:

Et le clou du spectacle, la robe que portera Bulma au bal !!!!

Spoiler:

Mais que dire !!!
ce chapitre est merveilleux !
Bien que j'ai eu assez de mal au début à différencier les robes
Je suis charmée, éblouis, toute retournée .... en gros, sur le cul !
et oé, un ptit gros mot, et alors, que dire d'autre à part cela !

Le fait d'introduire les différentes robes afin de pouvoir les voir, notre imagination explose !
Ce sont ces robes et pas d'autres !!
Et ça, c'est génial.
Une chouille de Bulma, un autre personnage, encore Bulma, un personnage différent .... je ne l'avais jamais vu et je dois admettre que c'est vraiment sympa.

En plus du sérieux des combattants, il y a du comique à la fabrique de robes. Obligée d'esquisser une petit sourire.

Enfin, je m'arrête là, mais c'est du grand travail et franchement, chapeau l'artiste.

Ca se voit que tu aimes ton histoire, si tu prends le temps de, non seulement nous montrer les trombouilles des personnages, mais en plus, les différents accessoires !!

Je me tais, juste une chose : Continue, tu me fais vraiment rêver !!!

jtaimeuuuuh for ever !

<3

Ha je sent que ma chére Bulma va être magnifique parfaite même je dirais.
Rassurez moi les autres aussi sont invités ????

Il est super ce chapitre

Ptit coup de gueule !

Bon sang !!!
chose promis, chose due TMTC

Faites des commentaires plus construits et qui aident l'auteur !!
Ce chapitre était super. OK Mais dites autre chose que ça !
C'est lourd à la fin et c'est tout simplement du FLOOD !

Dernier averto ...

Merci

T'm'vais prév'nue qu'tu lyncherais le premier ou la première qui ferait ça...
T'as pas menti ^^
J't'ai dédicacé sur SL, la flemme de le refaire, tu m'excuseras XD



Bulma attendait, un peu nerveuse, en se demandant ce qui allait lui tomber dessus maintenant.
Elle était toujours dans sa robe de princesse, dans la salle où les filles l'avaient laissée après avoir rangé les dernières robes.
La porte s'ouvrit et un elfe entra.
Grand, les yeux de la parfaite couleur or fendus par la pupille verticale caractéristique des elfes, il avait des dreadlocks brunes, retenues par des tresses de cuir.
Mince alors, Bob Marley avait encore frappé.
- Que votre magie illumine, Damoiselle.
- Qu'elle protège le monde, répondit Bulma.
C'est qui encore celui là ?
- Je suis Arno Teylatil, l'elfe styleur.
- L'elfe... Quoi ?
- Styliste-coiffeur. Je suis ici pour m'occuper de vous, ma chère.
- Ah, fit Bulma en essayant de sourire. Euh...
- Je ne vous raconte pas le mal que j'ai eu à vous trouver ! s'exclama Arno en la coupant. Au départ, il vous avaient mis un coiffeur affreux, mal aimable, bref la totale ! Ce type là sait coiffer comme moi je sais pondre un œuf ! Mais Jenifaël m'a dit que c'était impossible, elle avait raison, par Théandras, mais avec quelle tête vous seriez ressortie ! Mais enfin, je suis là maintenant, et heureusement, ajouterai-je.
Bulma n'eut pas le temps d'en placer une qu'elle se retrouva assise sur un tabouret. Le dossier s'enroula autour d'elle comme une fleur, et une seconde plus tard l'elfe examinait minutieusement sa chevelure.
- Mais qu'est-ce que vous avez fait ! s'écria-t-il. Ils sont dans un état é-pou-van-table ! Regardez moi ça, le cheveu est sec et terne, les pointes sont fourchues, il faut nourrir nourrir nourrir ! Mais c'est affreux, c'est touffu, c'est sauvage, ça ne ressemble à rien cette affaire !
Une demi-seconde plus tard, elle se retrouva la tête plongée dans un bac avec l'elfe qui la shampouinait énergiquement.
- Bon, alors vous voulez quelle couleur ? J'ai tout ce qu'il faut pour les teindre, et croyez moi ça vaut bien mieux que les horreurs que les gens se font eux mêmes ! J'en ai réparé, des gâchis...
- Mais... Je... Je ne veux pas les teindre ! protesta Bulma.
- Non ? On veut rester dans le banal, le bleu ? Alors on va se contenter d'un balayage et je vais vous faire également des boucles sur le bas. Ensuite on verra pour la coiffure. Je pense restructurer entièrement et peut-être dégrader un soupçon.
Les trucs bizarres qu'il mettait dans la mousse s'agitaient, se mélangeaient, et parfois s'envolaient, et Bulma se retrouva tout d'un coup avec des mèches blondes.
L'elfe répara les dégâts, mort de rire, sans se douter qu'il avait failli être mort tout court.
Il sécha ses cheveux méthodiquement, les démêla et les brossa puis, armé d'une paire de ciseaux et d'un bataillon de brosses, il commença à lui couper les cheveux, profondément concentré.
Bulma le regardait dans la glace et elle était surprise.
Il ne lui coupait pas les cheveux, il en faisait de l'art.
Les traits tirés, les yeux plissés, les lames tranchaient les mèches exactement là où il le voulait, au nano-millimètre près.
Arno se recula pour juger son travail.
Son visage se fendit d'un grand sourire.
- Et bien voilà Damoiselle. C'est tout de même mieux comme ça !
Bulma détacha ses yeux de l'elfe et regarda ses cheveux.
C'était ses cheveux ?
Dégradée, restructurée, lissée, les mèches bleues ne lui donnaient plus seize ans.
Elle avait essayé des dizaines de coiffures différentes sans arriver à se défaire de cet air de petite fille.
En une demi-heure, Arno avait réussi à faire ce qu'elle essayait depuis plusieurs années.
- Waouh.
L'elfe éclata de rire.
- Ça change hein ? Bien, je vais vous faire une coiffure pour le bal et vous serez prête.
- Je pense les laisser libres, ça ira, dit Bulma.
- Je suis le styleur, Damoiselle. Les laisser libres n'irait pas tellement avec votre robe.
D'après ce qu'elle en savait, inutile de discuter avec Arno.
Mais si tous ses choix se révélaient aussi bon que celui-ci, alors il pouvait faire ce qu'il voulait de ses cheveux !
Arno attrapa ses brosses et commença à les lui ramener en une queue de cheval qui s'annonçait incroyablement haute.
Il la fixa avec un élastique de la même matière que sa robe, même couleur avec exactement la même broche en forme de fleur, les mêmes strass.
Ses cheveux effleuraient sa colonne vertébrale et froufroutaient contre ses omoplates.
Ça ne la tirait même pas.
Arno Teylatil était génial.
- Euh... Je ne sais pas ce que je dois vous...
Arno comprit immédiatement où elle voulait en venir.
- L'Empereur prend en charge tout le coût. Vous n'avez rien à payer Damoiselle. Eh bien, je vais vous laisser, vous avez un bal et moi des clientes, non pas que votre compagnie m'ennuie, au contraire, vous coiffer est un plaisir. Je ne dis pas ça à tout le monde. Certaines de mes clientes ont des goûts... Par la guerre des Failles, s'occuper d'elles c'est une horreur et j'ai un mal fou à m'empêcher de les rendre chauves! Oh, mais il se fait tard, j'ai un rendez-vous dans dix minutes à l'autre bout de la ville ! Damoiselle, je suis navré, je dois vous laisser !
Et l'elfe ramassa son fourbi et détala vers la sortie.
Bulma prit alors conscience d'une chose.
Elle n'avait aucune idée du chemin à prendre pour aller au bal.
Oh m...


- Tiens, t'as un passager clandestin ?
Jenifaël, hilare, désignait Maïwen du doigt.
Le bébé Fée avait élu domicile sur l'épaulette gauche de l'armure de Végéta, qu'il avait retrouvée avec bonheur.
L'armure, hein !!
Mais Maïwen ne le gênait pas outre mesure.
En fait, il adorait cette gamine.
Elle avait des boucles soyeuses couleur nuit, et ses yeux étaient de la parfaite couleur ciel. La peau blanche et les traits fins comme toutes les Fées, ses ailes étaient de la forme de celles d'un papillon, noires et bleues ciel. Elle était d'une curiosité incroyable, passait son temps à s'amuser avec tout et rien, et se mettait tout le temps dans des bourbiers dont il devait la sortir.
Les prénoms des Fées ont une signification.
Et "maïwen" voulait dire "petite étoile".
Le prénom de Jenifaël était aussi un nom Fée. Il signifiait "étincelle".
Les Fées sont précoces dans l'apprentissage de la marche, mais tardives dans celui de la parole. Maïwen passait son temps à baragouiner des mots incompréhensibles, ou alors transformait les mots, ce qui l'énervait car personne ne la comprenait.
Enfin, il faut également signaler que Maïwen fait partie de la Famille Impériale, à titre d'Héritière Impériale.
- Elle est là depuis cet après-midi, sourit le saïyen. Impossible de l'en déloger.
- Ça n'a pas l'air de te gêner. Moi si je m'installais à sa place...
- Il y a un petit écart de gabarit et surtout de poids, répliqua Végéta.
Jenifaël ne répliqua pas, si elle le faisait, la discussion ne ferait plus très impériale.
Maïwen décida de se dégourdir un peu les ailes et s'envola en restant toujours près de Végéta.
- Tiens, au fait je n'ai pas vu Sandor, dit ce dernier.
- Il est partit à Koléana il y a plusieurs jours, répondit sa naouldiar. Pour parlementer avec Galadriel sur les traités des elfes dans l'Empire.
- Et nous on a écopé de Tavila, grogna Végéta qui n'appréciait guère l'elfe.
- On envoie un personnage important de l'Empire chez les elfes, il nous envoient un personnage important du royaume, c'est la règle.
Pour éviter toute prise d'otage, tout personnage important d'une nation envoyé dans une autre nation devait avoir son homonyme envoyé dans l'autre nation.
Dans la version simple, l'Impérator, en l'occurrence Sandor, était allé à Koléana, et bien, un elfe de même importance que lui devait être envoyé dans l'Empire.
Ils avaient donc reçu Tavila.
Vivement que Sandor revienne !
Maïwen décida que Végéta se sentait seul et revint s'assoir sur l'épaulette du prince.
- Tiens, t'es muette ce soir ? demanda Jenifaël qui était habituée à ce que la petite Fée babille sans cesse.
- A muett ! s'exclama joyeusement celle ci. Baaaa baaaa baaaa...
Les deux jumeaux échangèrent un coup d'œil amusé, accompagné, dans le cas de Jenifaël, d'un sourire.
Un jeune page se présenta devant eux et s'inclina si profondément que son nez toucha le sol.
- Vos Altesses Impériales, leurs Majestés Impériales vous attendent.
Ca faisait beaucoup d'impérial, mais les serviteurs n'avaient le droit que de donner leurs titres aux personnes qu'ils servaient, et, s'ils n'en avaient pas, d'en revenir aux "Dame", "Damoiselle", etc etc habituels.
Les jumeaux d'âme se levèrent des fauteuils dans lesquels ils étaient assis et se laissèrent précéder par le page, même s'ils connaissaient le chemin par cœur.

J'ai lu ce chapitre hier, fin, cette nuit et vraiment la flème de commenter, parce que à ce moment là, ton cerveau et bin il fait déjà dodo ....

trève de plaisanterie

Ce chapitre correspond tout à fait à ton style, il est vraiment très comique, j'aime beaucoup ce petit Arno... Il m'a bien fait rire
Et Végéta, on le voit s'adoucir de plus en plus ... ce n'est pas pour me déplaire bien évidemment !

J'aime vraiment de plus en plus, et je te félicite pour ce superbe chapitre ...

T'avais promis que tu ne le mettrais pas de suite, et tu las fait.

Merci merci merci

ma choute d'am d'am for ever !!!

<3

Vraiment super

*craque ses doigts*
J'ai l'autorisation expresse de Claire, alias choute d'am d'am, alias choupinette, alias choup' choup', alias choute, alias Choupa, BREF d'une admin et j'vais pas m'en priver.
CHRIS NOM DE DIEU (oups, pardon pour les croyants) ON A DIT PLUS DE FLOOD !!!
Le flood, c'est non seulement du hors sujet, mais c'est aussi des messages de trois mots !!
Donc, pour l'amour de Dieu (ouuuups) faites des messages constructifs !
Ca m'aide pas moi les "j'adore, la suite !!" !!!
Alors je sais pas moi, argumentez !
Dites ce qui ne va pas dans ce chapitre, ce qu'il faudrait mettre dedans en plus, enfin trouvez des idées quoi!
Voilà, donc cette fois ci c'est moi, mais la prochaine ça sera Claire et ça fera beaucoup plus mal...

Bon alors j'étais très ml ces derniers temps, mais j'avais déjà écris la suite depuis un moment, j'vous la poste ^^




Bulma déglutit.
C'était la première fois qu'elle était invitée à ce genre de fêtes.
Le bal de l'école, ça ne comptait pas vraiment.
Sa robe faisait d'elle une déesse, elle en était parfaitement consciente.
Ses cheveux ramenés en une queue de cheval haute et fantaisiste battaient ses omoplates.
Arno avait fait des miracles. La masse était totalement changée, restructurée, et ça lui allait beaucoup mieux.
Les garçons à côté d'elle n'avaient pas non plus l'air dans leur assiette.
Yamcha avait un teint d'une couleur indéfinissable qu'on pourrait placer entre le verdâtre et le livide, Krilin regardait droit devant lui, les yeux dans le vague, quand à Gohan, il tremblait de tous ses membres.
Goku avait le regard dur et de détermination plein les yeux.
C'était le seul qui pouvait paraître à peu près normal.
On les avait habillés à l'autremondienne, et ça leur allait plutôt bien.
Bulma reporta son regard sur le page qui les menait depuis quelques minutes dans les couloirs du Palais Impérial.
Il s'arrêta devant une immense arcade.
- Je n'ai pas le droit d'aller plus loin, Damoiselle, dit-il en s'adressant à Bulma puisqu'elle ouvrait la marche.
Celle ci acquiesça d'un signe de tête et le page prit congé.
Elle regarda autour d'elle et fut soulagée de voir que des gens entraient dans la salle.
- Dégonflés, lança-t-elle aux garçons qui attendaient qu'elle entre en premier.
- Attends, dit Yamcha alors qu'elle allait le faire. Il te faut un cavalier.
Elle fronça les sourcils quand il lui proposa son bras, mais de toute façon, c'était lui ou Krilin -elle aurait l'air fine !- ou Gohan -mais bien sûr, elle allait se faire accompagner par un enfant !-, comme Goku était focalisé dans ses pensées.
Elle retint le grognement qui lui montait dans la gorge et lui prit le bras.
Yamcha regretta tout de suite sa proposition.
Maintenant, il allait devoir entrer en premier.
Et merde.
Bulma prit les devants, sentant que si elle l'attendait ils seraient encore là dans deux heures, et il fut bien forcé de la suivre, bon gré mal gré.
La salle de banquet était immense, encore plus que toutes les autres pièces où Bulma était allée.
Décidément, les autremondiens ne savaient pas faire simple.
Le sol était de marbre immaculé aux veines d'argent , les colonnes blanches, finement sculptées, presque aériennes, soutenaient un plafond noir, piqueté d'étoiles scintillantes et parfois d'une traînée blanche qui filait sur le plafond en formant un étoile filante, qui représentait à la perfection le ciel nocturne de dehors.
Le plus étonnant était les fresques aux murs.
Elles bougeaient.
Les Fées virevoltaient allégrement, les elfes se bataillaient joyeusement, et tout ce petit monde passait d'un mur à l'autre sans que personne ne semble trouver ça étrange.
La distance qui séparait la porte du fond de la salle était telle qu'il fallait presque des vivres et de l'eau pour traverser la pièce.
Les tables étaient disposées en un grand arc-de-cercle, eu centre duquel trônait l'Empereur et l'Impératrice.
Deux sièges étaient placées à côté des personnages impériaux.
Tous les autres étaient placés sur la courbe de la table.
On les conduisit pas loin des places impériales, mais pas trop près non plus.
Bulma s'assit après qu'on lui ait tiré son siège, comme pour les autres.
La classe !
Pendant une petite dizaine de minutes, d'autres personnes, des personnages importants, des courtisans entrèrent dans la salle, parfois même des enfants.


Swan et Kira déboulèrent dans la salle, complètement essoufflées. Avec leur entraînements respectifs, elles avaient complètement oublié le bal.
Kira avait laissé ses longs cheveux violets libres et ils balayaient son dos et son visage. Sa robe de soie violette était fine et assortie aux fleurs qu'elle avait piqué dans ses cheveux.
Swan avait bouclé ses longs cheveux bruns, et portait une superbe robe rouge. Dans ses boucles étaient passées des rubans de soie couleur sang, et contrairement à son habitude, aucune lame ne l'accompagnait.
Elles retrouvèrent leur convenance et s'assirent juste à côté des places libres à côté des personnages impériaux.
Une minute plus tard arrivaient Salim et Jadina accompagnés de Maël qui lui aussi avait laissé ses armes dans sa chambre. Jadina avait une jolie robe rose, accompagnés de gants et elle avait noué ses longs cheveux en une queue de cheval nouée par un énorme nœud rose. Salim était comme à son habitude habillé en loup garou. Chemise blanche et gilet en cuir noir, pantalon et bottes de cuir.
Satila et Fabrice entrèrent, dans leurs habitudes habillées en noir et blanc et Lassilas, Ewilan et Illian arrivèrent en dernier. Illian était comme d'habitude habillé à l'autremondienne, et Ewilan avait une robe bleue. Lassilas quant à elle portait une jolie robe argentée qui allait très bien avec ses cheveux blonds.


Tout le monde s'assit, et la musique commença à résonner. Les danseuse s'avancèrent au son des tam-tams. De petites taille, menues, elles avaient les hanches marquées mais peu de poitrine et de fesses. Habillées avec des voiles ornés de sequins, rouges, verts, bleus, jaunes, violets, roses, une couleur par jeune femme.
Yamcha dévorait des yeux les larges pans de peau que les ensembles des jeunes femmes découvraient. On pouvait presque le voir baver.
Sensuelle et gracieuse, comme les danses orientales, mais avec de la provocation en plus.
- C'est étrange qu'on ne voie pas Végéta, souffla Sangoku.
Bulma se figea. Elle n'avait pas dit aux autres ce qu'elle avait appris. Elle ne savait toujours pas si elle devait le leur dire.
Les hanches des jeunes femmes se soulevèrent en rythme.
Chacune des parties de leur corps était mis à contribution, leurs bras dessinaient des arabesques délicates dans les airs, leurs doigts se pliaient et se dépliaient, leurs hanches roulaient en suivant la musique, leurs dos se cambraient...
Dans un ultime mouvement, elles projetèrent leurs bassins en avant alors que la musique stoppait.
Les applaudissements crépitèrent et elles saluèrent avant de repartir par là où elles étaient venues.
- Leurs Altesses Impériales Jenifaël et Végéta'tylanhem Ab Brevis T'al Barmi Ab Santa Ab Maru T'al Salan et l'Héritière Impériale Maïwen'tylanhem Ab Brevis T'al Barmi Ab Santa Ab Maru T'al Salan.
Deux silhouettes apparurent dans l'arcade.
Bulma sentit son cœur s'accélérer.

Mmm

Vegeta, comment va t il être habillé ???

Très beau chapitre et très long.
Continue

Bonjouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur mes amouuuuuurs <3
Oh ça rime XD

Si c'est pas malheureux...
Une semaine pour écrire un chapitre...

J'y pense, j'vous ai pas mis les photos des filles en robe de bal.

SonAltesse Impériale Jenifaël'tylanhem Ab Brevis T'al Barmi Ab Santa Ab Maru T'al Salan portera cette robe :

Spoiler:

Donc vous prenez la ceinture et vous la collez à la taille de Végéta ^^.
Miracle, ils ont la même !!

J'arrête mes conneries, la robe de Satila :

Spoiler:

Euh, y'a Lassilas aussi, nan ?

Spoiler:

Toc, Jadina et Ewilan (trop forte, 2 d'un coup !! XD)

Spoiler:

Pour Kira et Swan, impossible de mettre la main sur des robes taille enfant, désolée...
*ne me lynchez pas par pitié...*

Kira d'abord

Spoiler:

Swan ensuite

Spoiler:

Mettez les taille enfants dans vos têtes, je peux rien faire de plus pour vous ^^


J'arrête de vous emmerder enquiquiner, chap' suivant !!







Végéta retint son grognement.
Il avait dû en retenir beaucoup ces derniers temps.
Oh, faut pas t'en faire, tu vas la retrouver ta fiancée.
Végéta faillit s'étouffer.
Je n'ai pas de fiancée.
Oh, vraiment ? Cheveux et yeux bleus, traits fins, peau blanche comme les Fées ? Ça ne te dit rien ?
Je ne l'aime pas.
Jenifaël se figea.
Sonde moi. Tu verras que je dis la vérité.
Et Jenifaël le sonda.
- Leurs Altesses Impériales Jenifaël et Végéta'tylanhem Ab Brevis T'al Barmi Ab Santa Ab Maru et l'Héritière Impériale Maïwen'tylanhem Ab Brevis T'al Barmi Ab Santa Ab Maru.


Végéta savait parfaitement que la plupart des membres du Conseil s'étaient beaucoup mieux portés en son absence, surtout depuis qu'il soupçonnait ouvertement le Premier Ministre d'être un Mercenaire du Chaos. Et qu'ils ne cachaient pas leurs mépris réciproques.
Les courbettes, les ronds de jambe, les sourire mielleux, alors qu'en réalité tous ne rêvaient que de réduire au silence ce prince qui avait trop de doutes. Et qui pour la plupart étaient justifiés.
Ils pouvaient toujours essayer.
Ils avancèrent d'un même pas, fixant l'Empereur et l'Impératrice droit dans les yeux, ignorant totalement les dizaines de regards qui ne les quittaient pas, gardant leur démarche et leur maintien impérial sans aucun problème.
Ils étaient habillés des mêmes couleurs, le blanc qui symbolisait l'équilibre parfait, l'or pour l'absolue perfection et le pourpre pour la puissance.
Les couleurs impériales, quoi.
Sauf que Végéta ne portait pas de robe. (NdA : vision d'horreur XD)
Son armure saïyenne était blanche à épaulettes dorées, gants et bottes blancs, et combinaison noire, qui marquait son appartenance au peuple saïyen avant tout. Sa cape et la bande de Soie qu'il portait nouée à la taille étaient pourpres.
Jenifaël pour une fois était l'image même de la Princesse Impériale.
Et personne ne pouvait se douter qu'elle avait du mal à marcher avec cette fichue traîne.
Sauf Végéta évidemment, qui le lui rappelait avec ironie par leur connexion mentale.


Dans un élan d'une grâce indescriptible, un mouvement fluide et souple, les deux naouldiars se laissèrent tomber sur un genou pour saluer, comme si on venait de leur faucher les chevilles, le front appuyé sur leur genou gauche.
Les secondes défilèrent.
Les battements de cœur de Bulma s'amplifièrent.
Ils se relevèrent et allèrent se placer Végéta à droite de l'Empereur, Jenifaël à gauche de l'Impératrice.
Les conversations reprirent instantanément.
- Il nous l'a bien caché, le petit salopard, siffla Yamcha. "Son Altesse Impériale"...
Bulma se figea.
Devait-elle leur dire qu'elle avait été mise au courant ?


- Alors dis-moi Végéta, comment se porte ta nouvelle conquête ?
De chaque côté des personnages impériaux, Végéta et Jenifaël recrachèrent toute la corma qu'ils avaient avalé, mais pas pour les mêmes raisons.
- Nouvelle ? questionna l'Impératrice, subitement très intéressée.
Végéta toussa et cracha des bouts de trucs divers et variés pendant une bonne minute, et l'Empereur dut lui tapoter le dos, en dissimulant très mal son sourire.
Jenifaël était écroulée de rire. Ils pouvaient aller se faire voir avec leur maintien impérial et toutes ces conneries, c'était trop bon de rire comme ça ! Lisbeth pinça les lèvres et lui tapota dans le dos. N'aurait-elle pas été l'Impératrice, elle aurait été dans le même état que Jenifaël.
Mais Lisbeth était l'Impératrice.
Et ce n'était rien en comparaison des Apprenties. Elles n'avaient pas ri comme ça depuis au moins trois jours !
Jenifaël inspira profondément... et recracha par le nez la moitié du liquide resté bloqué dans sa gorge. Kira plongea sous la table pour étouffer son fou rire et Swan plaqua désespérément ses mains sur sa bouche. Morte de rire, la demi-déesse s'écoula sur la table en se tenant les côtes, les petites tapes de Lisbeth renforçant encore son hilarité.
Végéta se mit à pianoter d'un air résigné sur la table, en se demandant ce qu'il avait bien pu faire pour se retrouver avec ça.
Un truc pas bien, sûrement.
Non, plusieurs trucs pas bien.
Les plats commencèrent à défiler.
Merci !!


Satila se figea.
Non.
Non.
Non.
Non !
NON !
Elle résista.
En vain.
Elle la contrôlait.
Et lutter ne la faisait que plus souffrir.
Tue la.
Non !
Tue la.
Non, non, non, non, non, non, non, NON !!!!
Tue la !
Les pupilles de la belle vampire disparurent.
Bien ma petite esclave, très bien. Tue la.
Non...
Non...

Non...

moai

Vraiment bie ce chapitre ciontinue ma fille.
Attends ta suite avec impatience.
Oubliez pas ma fictions.

Cest quoi ce moai !!!

enfin, quel chapitre délicieux, jai bien souri en le lisant. Tu vois de quel passage je veux parler, je pense ^^
Merci pour les photos, elles sont supers jolies ces robes dis donc !!!
J'aime beaucoup et je suis sure que Végéta et Jenifaël Sont supers beaux !!!

Je ne citerai aucun nom.
Claire m'a harcelée et finalement, j'ai décidé de couper ce chapitre en deux.

[t'avais pas dit que tu citais pas de noms ?]
Hein ?
[... ben t'as dit "je ne citerai aucun nom". et la phrase suivante, tu le fais !]
Oui ben... Il faut que les gens sachent ! Oui messieurs les jurés, parfaitement ! Levons le voile du mensonge et dévoilons la vérité ! Nous autres auteurs sommes harcelés par des individus, poussés dans nos extrêmes limites et obligés de faire des choses que nous réprouvons, mais l'emprise qu'ils ont sur nous est trop puissante ! Nous ne pouvons leur résister !
[...]
Oué ben quoi ?
[je me tais.]
><
[envoie le chapitre Anji]
...





Maïwen se pencha et attrapa un beignet dégoulinant de sauce. L'unique problème résidait dans le fait que ledit beignet était blindé de poivre.
Végéta intercepta l'aliment juste avant que le bébé ne l'enfourne et il le déposa plus loin, sans même accorder un regard à Maïwen.
- Et nous avons aussi un problème de frontières dans le désert des Murmures. Les Salterens...
Végéta se désintéressa de Lisbeth et attrapa le chocolat à la liqueur de cerise que Maïwen tenait à la main.
Jenifaël gloussa mentalement.
Végéta lui dit d'aller se faire voir mentalement.
Il ne pouvait pas manger un truc sans que le bébé essaie de l'imiter en mangeant un autre truc malheureusement très mal adapté à son âge. Le saïyen veillait au grain, s'emparant de toute denrée que la petite Fée portait à sa bouche.
Il avait pitié des nourrices de cette gosse. Elle le rendait fou, et ça ne faisait que quelques heures qu'elle l'avait "adopté".
- Et nous avons donc décidé d'accepter leurs requêtes au final. Tu n'es pas d'accord avec moi ?
Oh oh...
Elle disait quoi là ?
Il perçut un gloussement mental.
Réponds qu'elles sont justifiées.
- Si, elles étaient parfaitement justifiées.
- Je suis bien d'accord avec ce que tu dis Végéta, intervint l'Empereur. Lisbeth ne voulait pas au départ, mais...
- Maïwen-à-la-fin !
La bébé reposa le morceau de viande bourré de piment sur son plateau.
- Tiens, mange ça, ajouta-t-il en lui fourrant une carotte dans le bec.
Le bébé tira sur la carotte enfoncé dans sa cavité buccale mais Végéta l'avait un peu trop enfoncée et elle dut tirer plusieurs fois avant de réussir à l'arracher avec un bruit de succion.
Et prit ensuite le légume à l'horizontale et se mit à le ronger avec enthousiasme, envoyant des bouts de carotte un peu partout autour d'elle.


- Attention avec ça, conseilla un homme à gauche de Yamcha, c'est fort.
- Pour qui me prenez vous ? s'offusqua ce dernier.
Une demi-seconde plus tard, il était plié en deux, les larmes aux yeux, en toussant tout ce qu'il pouvait tousser et en se donnant de grands coups sur la cage thoracique.
Bulma roula des yeux.
C'était un complot.
- Tu ne trouve pas que c'est étrange que cette petite fille soit si près de Végéta ? demanda Krilin à Goku.
- Je ne sais pas... Nous ne connaissons pas les coutumes de cette planète, et n'oublions pas que Végéta a vécu ici.
- Elle lui ressemble, quand même, intervint Gohan.
Bulma se figea, sa fourchette encore levée à mi-chemin entre son assiette et sa bouche.
- Elle a les cheveux noirs, comme lui. Et les yeux bleus, comme la fille rousse.
La fourchette de Bulma tomba sur la nappe.
Était-il possible que...
"Ça me permet de communiquer avec Autremonde. Ça s'appelle une Clik, à cause du bruit qu'elle fait quand on l'active. Elles marchent par paires. J'en possède une et elle a la deuxième."
Elle.
Ils étaient tous les deux "Altesses Impériales".
Ils étaient entrés en même temps.
Ils étaient assis presque à côté.
Et ce bébé qui leur ressemblait comme deux gouttes d'eau.
Non.
Impossible.
Impossible, n'est ce pas ?


Végéta soupira en regardant Maïwen qui avait trouvé la technique infaillible pour manger sa carotte : elle rongeait consciencieusement une des extrémités du légume jusqu'à arriver au cœur puis croquait un bon coup dedans en balançant des bouts de carotte un peu partout, mastiquait joyeusement, la bouche ouverte naturellement, en envoyant des morceaux de carottes pleins de bave valdinguer à travers la table, réduisait ce qui parvenait à rester dans sa cavité buccale à l'état de bouillie orange mélangée à de la salive, avalait, puis répétait l'opération.
L'ensemble avait quelque chose d'étrangement hypnotisant.
Sans oublier qu'elle mettait entre deux et quatre minutes pour finir une carotte. A ce rythme là, le pris de la carotte allait tripler en une semaine.
Le bébé enfourna le reste du légume, croqua dedans et avala. Elle lécha minutieusement ses petits doigts qui avaient viré à l'orangé, puis se lécha les babines et adressa un grand sourire à Végéta qui put ainsi constater que plusieurs miettes de carottes avaient réussi à résister et étaient coincées entre ses petites dents qui commençaient elles aussi à devenir oranges.
Tu devrais faire attention, elle va exploser, elle en est déjà à sa sixième quand même...
Il donna une septième carotte à la Fée qui se jeta dessus comme si elle n'avait pas mangé depuis un an sans s'occuper de sa jumelle d'âme.
Boulotter des carottes nourrissait Maïwen, l'occupait et par dessus tout la faisait taire, étant donné qu'elle ne pouvait avoir la subtilité de manger et de produire un son en même temps.
S'il rencontrait celui qui avait fait pousser la première carotte, il l'embrasserait.
Parce que si jamais il entendait encore un seul "baaaaaa", "yag yag" ou "gaaaa ?", il allait exploser.
Lisbeth adorait cette enfant et lui passait tous ses caprices. Elle n'était pas la seule. Avec ses grands yeux bleus innocents, Maïwen faisait craquer n'importe qui, et lui aussi y avait droit. Elle ne manquait d'ailleurs pas de culot, décidant qu'elle en avait parfaitement le droit et que c'était permis, s'asseyait sur l'épaulette gauche de Végéta et enclenchait la marche avant de la production de sons.
Qui était très difficile à arrêter.
Le bambin avait du jus de carotte qui dégoulinait de son menton, et ça l'amusait beaucoup d'ailleurs. Elle le récoltait à l'aide de ses petites menottes et se les fourrait dans sa bouche.
Il était grand temps de commencer l'éducation de cette enfant.
Elle commençait à s'ennuyer de ronger des carottes et décida de les manger d'une autre manière ludique et amusante.
Seigneur.
Elle changea la carotte de position et l'enfourna en un grand mouvement, obstruant complètement sa cavité buccale. Le problème était que le légume était coincé.
Le bébé se mit à tirer de toutes ses forces sur le légume en poussant des gémissements désespérés et étouffés. Mais ses petites quenottes étaient enfoncées dans la carotte jusqu'au cœur, plantées dedans comme un grappin dans un mur. Et plus elle tirait plus elle avait mal.
Végéta grogna et tira d'un grand coup sec sur le légume en projetant le bébé en avant. Elle avait un morceau de carotte gros comme son poing dans la bouche mais à part ça elle allait très bien, et ne rêvait bien entendu que d'une chose : recommencer.
Mais pour ça il fallait se débarrasser du gros truc dur au goût de carotte qui encombrait ses mâchoires. Elle ouvrit la bouche le plus grand possible et referma ses dents sur le bout de carotte qu'elle trancha proprement en deux à la manière d'un élastique qu'on tend au maximum et qui repart, dont l'une des moitiés fusa jusqu'à la piste de danse et fit trébucher une blonde jeune femme à l'opulente poitrine absolument pas naturelle et la fit atterrir peu esthétiquement sur les fesses.
Végéta sourit narquoisement et fournit très obligeamment une autre carotte à la fillette.
Au point où il en était de toute façon...


Jenifaël s'immobilisa.
Une onde négative, non, deux ondes négatives.
Magiques.
Impossibles à percevoir.
Sauf évidemment par elle.
- Végéta, siffla-t-elle.
Il tourna la tête.
D'un mouvement du menton, elle indiqua la piste de danse où les couples tournoyaient.
- Oh non, grogna-t-il. Même pas en rêve.
Il y a des Mercenaires dans la salle, pauvre cloche !
Végéta se leva.
Maïwen, qui avait les joues maculées de traces oranges et les doigts pleins de bouts de carotte, leva sur lui un regard inquisiteur.
Je suis curieuse de savoir si tu sais toujours danser...
Je te hais.
Jenifaël éclata de rire mentalement.
La plupart des naouldiars n'arrivaient pas à différencier leurs émotions mentales de leurs émotions normales. En général ils devenaient fous au bout de quelques semaines, ce qui faisait qu'il n'y avait pas énormément de gens intéressés.
Ils avaient appris à partager ce qu'il y a de plus profond, de plus secret, de plus important chez un être : leur âme. Leurs esprit s'étaient accordés et il n'avaient plus que rarement l'envie d'aller se pendre.
- Alors, ils sont où tes Mercenaires ? grinça Végéta qui appréciait la danse comme les zèbres les crocodiles.
- Il faut que je sonde la pièce, ça prend du temps.
Végéta roula des yeux.
Mais qu'est-ce que je fais là ?
Jenifaël avait les yeux dans le vague, signe qu'elle sondait en profondeur toutes les personnes présentes dans la salle.
Il la prit par la taille et la souleva au dessus de lui en lui faisait faire un tour dans les airs avant de la reposer. Jenifaël se sortit de sa torpeur à ce moment-là.
- L'homme debout, à droite de la porte, avec une tunique verte.
Végéta fit basculer sa partenaire en arrière pour pouvoir le voir. La tête de Jenifaël frôlait le plancher. D'un mouvement souple du bras, il la ramena vers lui.
- Tu avais dit "des" Mercenaires...
- Exact, mais je ne vois que celui là. C'est curieux, j'avais senti deux énergies négatives...
- Aucune importance. On va régler ça rapidement...
- Non attends ! Je veux savoir ce qu'ils mijotent. On va attendre tranquillement qu'ils se décident...
Végéta grogna. Il s'était tapé tout ça pour rien au final.
- Bon, ça suffit, je craque.
- Attends ! Premièrement ça ne se fait de quitter une danse avant qu'elle ne soit terminée, et deuxièmement, moi je repère les puissances magiques, mais toi tu peux essayer avec la force de combat, tu réussiras peut-être là où moi j'ai échoué.
Le saïyen se maudit de ne pas y avoir pensé.
Il allait encore rester sur cette saloperie de valse un moment...


- Tiens, voilà un talent que notre cher prince des saïyens nous avait caché, ricana Yamcha.
La troupe de terriens sourit. Il était vrai qu'avant aujourd'hui, personne n'avait songé à imaginer Végéta en train de danser. Cela dit, Bulma l'imaginait bien en blond, alors, rien n'était impossible...
Goku s'immobilisa soudain, tous ses sens de guerrier en alerte.
Il y avait une énergie mauvaise dans cette salle.
Une énergie mauvaise mais étrange.
Pas du tout comme les autres énergies négatives qu'il avait pu percevoir jusqu'alors.
- Papa ! s'exclama Gohan.
- Oui, je l'ai perçue aussi, intervint Yamcha.
- Elle est étrange, remarqua Krilin. Totalement différente des autres forces que j'ai pu ressentir jusqu'à maintenant.
- De quoi ? questionna Bulma.
- Il y a une énergie mauvaise par ici Bulma, répondit Goku. Et je ne sais pas du tout ce que c'est...





[et elle s'arrête là. comme ça. sans rien d'autre.]
Oéééééé XD
[et elle en est fière.]
Oéééééé XD
[je sais plus quoi en faire de cette pauvre fille...]
Oéééééé XD
[bon, ça y est, je craque. je vais me pendre.]
OEEEEEE !!!!!! XD

Euh, heureusement que tu l'as coupé en 2 !!! voila la taille qu'il fait !!
ouahouh
que dire
Merci pour le début, genre je te harcèle ...

enfin bref

Mdr le premier paragraphe !! Végéta qui veille sur le bébé, trop chou !
2ème paragraphe : Je suis autant sur le Q que Bulma dis donc !!! Faudra mettre ça au clair !!!
3ème paragraphe : une ptite faute :"le pris " jpense, cest pas ce 'pris' là ... Nan ? sinon, j'aime cette fée !!
4ème paragraphe : le passage de la danse est vraiment sympa !!!
dernier para' : Goku est trop fort The super héro !! Tu t'arrêtes là !! JE TE HAIS !

Alors la top.

Bon qui va expliquer a Bulma qu'elle se fait un film concernant notre petite fée ?? (c'est bien ça elle se fait un film rassure moi).

Sinon les méchants vont mettre un peu d'action, il était temps.

Quand à Végéta il pourrait s'occuper un peu de notre chére Bulma non mais Goujat tu couche avec elle et tu l'ignore depuis que vous êtes chez les elfes.

Allez continue ainsi et je te préviens pour la fin je veux un bisous entre Bulma et Végéta en public ou en privé suis sympa jte laisse le choix.

Bonzouuuuuuuuur mes chers n'amiiiiiiiiis 8D
[t'as vu le retard que t'as ?]
...
*siffle*
J'ai des circonstances atténuantes !!
[ah ouais ? ben on les écoute... è.é]
...
Bon, si on passait à la suite ? XD



- Ça suffit ! Arrêtez tout ou elle meurt !
Selenba raffermit sa prise sur les cheveux de Bulma et appuya ses griffes sur sa gorge d'où coula un filet de sang.
Le rire glacé de Végéta résonna quelques secondes dans la salle.
Une éternité dans le cœur de Bulma qui sentit ses entrailles se glacer.
- Tu dois vraiment en être arrivée à tes absolues extrémités si tu penses que ça va me faire quelque chose. Je hais tous les terriens. Sans aucune exception. Tu attends quoi au juste ? Tue-la, je t'en prie.

Flash-back

- Ah, ben quand même... Je commençais à désespérer.
Végéta toisa d'un regard mauvais les Mercenaires présents dans la salle.
J'en compte trente.
Trente et un si on compte celui qu'on n'a pas trouvé.
Trente et un donc.
- J'peux ? supplia Swan.
Jenifaël et Végéta haussèrent les épaules dans un bel ensemble.
- On va voir où tu en es...
La fillette, ravie, sauta à bas de sa chaise et courut se placer face aux trente hommes, dos aux personnages impériaux.
- Fayotte, lança Illian.
En réponse, son amie lui tira la langue, trop heureuse pour s'énerver.
C'est pas des Mercenaires ça. De parfaits amateurs.
Tant mieux, Swan va pouvoir s'amuser comme ça.
Les trente hommes se déployèrent lentement en éventail en mesurant du regard leur adversaire. L'un d'eux, certainement leur chef, éclata de rire.
- Tu veux jouer à la poupée ma petite ? Allez, retourne t'assoir bien gentiment et on ne te fera aucun mal.
S'il avait prêté la moindre attention à son adversaire en ce moment, il aurait pu voir qu'elle avait changé de position pour abaisser son centre de gravité. Il aurait pu voir qu'elle avait noué ses cheveux en une queue de cheval afin de ne pas les avoir dans les yeux. Il aurait pu voir que l'étincelle de malice qu'elle avait dans les yeux avait disparu, remplacée par une lueur tout aussi brillante de détermination et de sadisme. Enfin, il aurait pu avoir le temps d'avoir brusquement très peur pour sa misérable vie.
Mais il ne lui prêtait pas la plus petite attention, trop occupé sans doute à faire rouler des muscles superficiels en jetant des coups d'œil vers ses hommes pour s'assurer qu'il n'était pas le seul à rire.
Le pied de Swan le cueillit sous le menton et lui fit décrire une courbe harmonieuse dans les airs. Alors qu'elle était toujours dans les airs, la fillette fit un salto arrière en gardant son pied solidement coincé sous la jugulaire de l'homme. Il s'écrasa lourdement par terre alors qu'elle donnait un grand coup dans son cou en pesant de tout son poids, lui brisant les vertèbres cervicales et lui broyant l'œsophage, la trachée artère, la carotide, bref à peu près tout ce qui passait dans le cou.
L'action n'avait pas duré cinq secondes.
- On va compliquer un peu, dit Végéta. Tu n'as le droit de les toucher qu'à la nuque et au cou.
Inutile de préciser que les hommes reculèrent précipitamment.
Je me suis mal exprimée.
Pour être exacte, il aurait fallu que je dise : Inutile de préciser que les hommes essayèrent de reculer précipitamment. Swan ne leur en laissa tout simplement pas le temps.
Elle bondit sur l'un d'entre eux, se mit en position verticale et percuta l'homme en plein milieu du cou, projetant son tête en avant et son corps en arrière, le tuant sur le coup. (NdA : Désolée du jeu de mots, mais il fallait que je le fasse ><) Elle prit appui sur la tête de ce qui était maintenant un cadavre et balança ses jambes en grand écart dans la nuque et la trachée de deux autres. A la manière d'une danseuse de hip hop, elle se réceptionna souplement sur ses deux bras, plia les coudes, tourna sur elle-même et en faucha six autres au niveau du plexus solaire.
- Incroyable, souffla Goku. Sa force de combat à augmenté brusquement et avec une rapidité !
Swan écrasa un homme contre le mur avec son avant bras qui broya littéralement la carotide, bondit sur un autre qu'elle envoya dans un mur en manquant de peu une sulfureuse comtesse qui lui jeta un regard indigné.
- Ben ouais, faut s'baisser ! s'exclama Swan en écrasant son coude dans une trachée qui passait à portée.
Kira trépignait sur son siège, impatiente de rejoindre son amie, en jetant de tels regards à Jenifaël qu'elle sourit finalement et d'un mouvement du menton lui indiqua qu'elle pouvait la rejoindre.
La princesse mauve fit un bond de quatre mètres de long et au moins autant de haut et atterrit droit dans le ventre d'un homme qui se plia en deux sous l'impact, offrant une parfaite cible à Swan qui lui brisa la nuque d'une simple tape avec le tranchant de sa main.
Les fillettes se sourire, et, d'un même mouvement, repassèrent à l'attaque. Kira, infiniment plus rapide que Swan, courait deux mètres avant elle, puis se laissa soudain tomber sur ses genoux, dos rond, nuque rentrée dans les épaules. Swan, qui arrivait derrière, prit appui sur elle et se jeta dans les airs, effectua une pirouette et enserra violemment la nuque de celui sur qui elle avait atterri entre ses jambes. Un craquement sec, il était mort.
Krilin aperçut alors le regard des deux fillettes.
Un regard malicieux.
Les deux filles s'amusaient.
C'était un jeu.
Comment pouvait-on tuer avec une telle désinvolture ?


Il ne restait que onze hommes encore en vie, Kira ayant joyeusement lacéré quatre d'entre eux avec ses griffes, égorgé un et fait un trou dans la poitrine d'un sixième.
"Cette petite est douée, songea le douzième Mercenaire. Très douée. Une petite proie tout à fait délicieuse..."
Satila frissonna.
- Quelque chose ne va pas ? murmura Fabrice.
La vampyr fit de son mieux pour sourire. Le rictus qu'elle avait sur les lèvres faisait plutôt penser qu'elle venait de sucer un citron.
- Non non, tout va bien. Il en reste combien ?
Fabrice compta mentalement les rescapés.
- Sept, non, six, rectifia-t-il.
La vampyr se plia en deux.
- Satila ! s'exclama-t-il.
Elle releva la tête.
Fabrice faillit tomber de sa chaise.
Ses yeux...
Comment ne l'avait-il pas remarqué plus tôt ?
- Satila, murmura-t-il. Non... Je croyais qu'on avait réussi à te purger !
- Dans tes rêves ! répliqua la vampyr.
Et elle lui asséna un coup de pied dans l'estomac qui le fit atterrir dans une colonne.


Selenba arracha son Drac, et reparut dans le spectre du visible. Ca ne passait pas du tout comme prévu. Les autres idiots se faisaient tuer les uns après les autres. Elle était censée rester dans l'anonymat, sauf en cas d'urgence. Elle n'aurait qu'à dire que c'était un cas d'urgence.
La vampyr bondit sur Bulma, l'attrapa par les cheveux et sortit ses griffes.
- Ça suffit ! Arrêtez tout ou elle meurt !
Selenba raffermit sa prise sur les cheveux de Bulma et appuya ses griffes sur sa gorge d'où coula un filet de sang.
Le rire glacé de Végéta résonna quelques secondes dans la salle.
Une éternité dans le cœur de Bulma qui sentit ses entrailles se glacer.
- Tu dois vraiment en être arrivée à tes absolues extrémités si tu penses que ça va me faire quelque chose. Je hais tous les terriens. Sans aucune exception. Tu attends quoi au juste ? Tue-la, je t'en prie.



Voilààààààà... *hihihi...*
[tu réussis à te faire haïr de tes lecteurs au moment même où tu reviens. très forte]
...
*siffle*
[... è.é]
...
[è.é]
D'accord, tabassez-moi ><