Végéta : le passé rattrape le présent

Bonjour à tous je suis une petite nouvelle sur le forum, j'ai de l'imagination et je suis passionnée par l'histoire d'amour de Végéta et Bulma (non ? c'est pas vrai ? vous vous en doutiez pas du tout, n'est-ce pas ???) Je m'intéresse plus particulièrement à la jeunesse de Végéta, ce qu'il a fait avant de venir sur Terre pour la première fois. On donne des indices dans la série et je vais essayer de ne pas trop dire l'inverse. On sait ce qu'il c'est passé quand il avait 7 ans, sa planète a explosé détruite par Freezer. Mais on ne sait rien sur son adolescence et c'est ça qui m'intéresse. Une petite (ou grande) fic sur ça justement. Je tiens à préciser que le nom d'un des persos principaux est le même que mon pseudo, ça peut sembler terriblement narcissique, mais pas du tout, en fait c'est que j'adore ce perso et j'ai donc décidé de prendre son nom. Dernier tiret, il a y beaucoup de persos dont vous ne comprendrez peut-être pas l'importance ni ce qu'ils foutent là, c'est normal, les explications viendront plus tard. Et maintenant, premier chapitre !!!


Jenifaël suffoquait. Elle était enfermée dans... Dans quoi exactement ? Elle était dans une sorte de boîte, juste assez grande et large pour la contenir, dans laquelle elle avait à peine assez de place pour tenir allongée, les bras sur le ventre. L'air sentait le refermé, elle avait du mal à respirer. «Par les couilles de Ravaldar ! Je suis dans cercueil !» réalisa la jeune femme, horrifiée. Il fallait qu'elle se sorte de là très très vite, elle allait bientôt mourir d'asphyxie. Elle redressa brusquement les bras qui cognèrent le plus violemment possible contre le bois. Elle poussa un juron de douleur et recommença, encore et encore, elle y mettait toute sa force, elle cognait avec l'énergie du désespoir, il fallait, il fallait qu'elle se sorte de là, c'était une question de vie ou de mort. Non, pas de vie ou de mort. Bien plus que ça. Elle n'en pouvait plus, ses poings étaient en sang, elle avait mal, elle n'arrivait plus à respirer, la tête lui tournait, elle allait bientôt s'évanouir. Mais elle continuait. Elle détruisit enfin le couvercle, et ses poings purent passer. Elle tâtonna pour trouver l'ouverture et la trouva enfin. Elle ne bougea pas d'abord, inspirant à pleins poumons l'air humide et froid du souterrain dans lequel se trouvait le cercueil. Enfin, tremblante, les mains pleines de sang, elle se releva difficilement. La tête lui tournait, sa belle robe blanche était maintenant tachée de sang. «Nom de Dieu, je m'en suis sortie !» Jenifaël ne sentait plus ses mains, elle était proche de l'évanouissement, elle respirait à peine. Elle rassembla ses dernières forces pour se disloquer.
Elle réapparut dans la Tour de Cristal, devant Abnar, Dylan, Darkhell et Elysio.
- Jenifaël ! s'exclama ce dernier.
- Elysio... fit la jeune femme dans un souffle rauque. Ils...vont...lui faire la peau...occupez...vous en...à ma place...
Elle s'évanouit. Elysio se tourna vers les autres.
- Qu'est-ce qu'elle a dit ? demanda Abnar.
- Que l'histoire recommence.

Les Écuyers de Sarahyl sont obligés d'exécuter un ordre que leur aurait donné leur maître ou un Immortel. Mais ni Dylan ni Abnar n'eurent besoin de leur ordonner d'aller sur Terre. Ils étaient parfaitement d'accord. Jadina, Ewilan, Salim, Kira, Swan et Illian étaient volontaires pour cette mission suicide. Jadina et Salim, Ewilan et Illian, Kira et Swan, leurs maîtres les avaient prévenus. Ils ne pouvaient pas aller avec eux. Jenifaël parce qu'elle n'était pas en état, Maël parce qu'il devait partir à Kur'N'Raï, et Lassilas parce qu'elle devait absolument régler un problème de frontière aux Salterens. Les Apprentis seraient donc seuls. Ils en parlaient dans la salle commune.
- On n'y arrivera pas, murmura Jadina. On est six Écuyers face à des Mercenaires qui on réussit à presque tuer une demi-déesse !
- Reste ici si tu veux, s'énerva Kira. Moi j'y vais ! Végéta nous a sauvé la vie au moins un millier de fois, aujourd'hui, la chance m'est donnée de payer ma dette. Je préfèrerais mourir que de rester les bras croisés sans rien faire ! Ces sales bruiks ont failli tuer mon maître, ils vont le payer !
- Tu as parlé à la fois comme la digne fille de ta mère et comme la digne Apprentie de Jenifaël, intervint Dylan qui venait d'arriver. Quant à toi Jadina, aie confiance en toi. De plus, arrivés là-bas, Végéta pourra vous aider. J'ai confiance en vous. Votre passage est arrangé auprès d'Isabella.
Les Apprentis frémirent et grimacèrent. La Gardienne de Surveillance Terrestre était connue et redoutée dans tout l'Empire pour son grand pouvoir et sa capacité vocale impressionnante.

Bon voilà, c'est un peu court, mais bon tant pis. Vous me dites si vous aimez, je la continurai aussi longtemps que possible.
Gros bisous à tous et et à toutes !!


Je dois le faire Végéta. J'espère que tu comprendras. Ne m'en veux pas.

jolie debut ^^ par contre j'aimerai que tu aille faire une petit presentation dans la partie aproprie ^^ merci d'avance et contnue comme ca

ben moi je suis pour savoir ce qui va se passer sur notre petite planéte bleue qui je le voit est encore menacée pauvre planète on te laisse pas en paix.

Et bienvenu à toi.

Oui elle est bien continue et bienvenue a toi.

Merci beaucoup je la prévois assez longue, la suite est déjà sur papier, mais par contre bulmavegeta, je ne sais pas où il faut aller pour se présenter...


Je dois le faire Végéta. J'espère que tu comprendras. Ne m'en veux pas.

Ne t'inquiète pas Elphyra, je n'ai aucune intention de maltraiter ou d'abîmer la Terre, c'est même une clé dans mon histoire...

Je dois le faire Végéta. J'espère que tu comprendras. Ne m'en veux pas.

la presentation c'est sur se lien ^^

https://vegeta-and-bulma.1fr1.net/presentation-f3/

Merci beaucoup bulmavegeta, pour te remercier je poste la suite^^
Que va-t-il arriver à notre couple préféré ?


Les Mercenaires étaient arrivés sur Terre. Leur chef sortit une boule de cristal de sa poche. Le visage de son correspondant était flou et brouillé.
- On capte très mal sur cette planète de pouilleux, grogna-t-il.
Il parla quelques minutes et raccrocha, énervé.
- La Princesse s'en est sortie. Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer comment elle a fait pour s'enfuir d'un cercueil où elle tenait à peine dedans ?
Les autres hochèrent négativement la tête.
- Cette garce est une garce très forte en tout cas, siffla l'un d'eux. Mais on s'occupera d'elle plus tard. On va commencer par régler son compte à l'autre ordure.
Les Mercenaires acquiescèrent. Le chef sortit une fiole contenant un liquide rouge sang et une chevalière noire de sa poche. Il enfila la chevalière et la tourna trois fois. Une démone des Limbes aux crocs, griffes et queue -terminée par un poignard- noirs, à la fourrure zébrée de rose et aux cornes longues et pointues apparut devant lui. Elle était cependant un peu décolorée, et on voyait légèrement au travers.
- Quelqu'un à tuer ?
- Oui, celui dont l'ADN se trouve dans ce sang, dit-il en lui tendant la fiole.
La démone prit la fiole et sentit longuement le sang.
- Vous avez dit celui, c'est donc le mâle que vous voulez tuer.
- C'est en effet ce que j'ai dit.
- Non, parce que je peux m'occuper de la femelle aussi, si vous voulez.
- Non ! Le mâle. Pour la femelle on verra plus tard.
- Pourquoi plus tard ?
- Eh bien je ne sais pas moi, parce que, parce que... Parce que c'est comme ça ! Ce saïyen est une épine dans notre pied depuis qu'il est venu sur AutreMonde. Aujourd'hui nous avons décidé de la retirer.
- Retirer quoi ?
- L'épine.
- Quelle épine ?
- Comment ça quelle... Ben le saïyen !
- Il faudrait savoir à la fin ! Vous avez dit une épine. Comment vouliez-vous que je sache que c'était du saïyen qui vous parliez ? Il est à moitié arbre ? Il faut que je tue une épine ?
- Tue le saïyen ! Je n'ai jamais dit que je voulais tuer une épine !
- Mais si, vous venez de...
- SLURK ! Tue le mâle, vite, et MAINTENANT !!!
La démone prit la fiole précipitamment.
- Pourpouvoirtuerquelqu'unilfautquejesoisprésentephysiquementsurlaTerreetpourcelavous devezmematérialiser, dit-elle.
- SPARIDAM !
La démone se matérialisa et disparut en emportant la fiole.
- Enfin, grogna le chef. C'est pas trop tôt ! Les démones des Limbes sont les meilleures tueuses de l'univers, mais par les crocs cariés de Gelisor, qu'est-ce qu'elles sont obtues !


Bon voilà c'est un peu court mais si vous aimez je vous donne la suite un peu plus tard. Je suis désolée aussi, il y a beaucoup de dialogue, mais la suite n'en a quasiment pas.

Je dois le faire Végéta. J'espère que tu comprendras. Ne m'en veux pas.

C'est bien continue

Sympatique continue ainsi.

Merci beaucoup je suis contente qu'elle plaise, elle est pas du tout dans le style des autres !!
Allez hop, la suite !!


Végéta était en train de méditer dans le jardin des Briefs lorsque la démone fit irruption devant lui et il ne dut qu'à ses prodigieux réflexes de ne pas être tué par la queue de la démone.
- Nom de... s'exclama-t-il en plongeant sous une table de jardin.
Table qui fut réduite en miettes une seconde plus tard. Végéta sortit de là-dessous en quatrième vitesse et sauta sur le balcon de Bulma.
- Mais qu'est-ce que... commença-t-elle.
Il ne lui laissa pas le temps d'en dire plus et se jeta sur elle. Juste à temps. Le mur explosa, projetant sur eux des dizaines de gravats. Bulma, protégée par Végéta, n'eut rien, mais lui se reçut un gravât de plusieurs kilos entre les omoplates. Il grogna de douleur et la projeta en arrière avant d'envoyer kihoha sur kihoha en direction de la démone. Elle les évita tous et se rua sur lui. Il lui décocha un coup de pied qu'elle esquiva. Elle attrapa sa jambe et le balança dans le mur. Il passa au travers et Bulma étouffa un cri. La démone prépara une boule de feu noir.
- Allez, sors de là, je croyais les saïyens plus résistants !
- Qui ? demanda-t-il en sortant des débris, la lèvre fendue et la bouche pleine de sang. Qui t'a envoyée ?
- Le possesseur de ma chevalière, répondit la démone en envoyant sa boule de feu.
Il l'esquiva en se baissant, puis il bondit sur Bulma, prévoyant ce qu'elle allait faire. Effectivement, la boule de feu de la démone s'écrasa sur le dos de Végéta et non sur la poitrine de Bulma qui était visée au départ.
- Ça va ? demanda-t-il à la jeune femme.
- Moi oui, répondit-elle dans un souffle. Mais toi...
Il se tourna brusquement et envoya un kihoha sur la démone qui l'esquiva une fois de plus. Il le fit revenir vers elle et elle le reçut dans le dos. Elle eut une exclamation de douleur et répliqua en envoyant boules de feu sur boules de feu, qui s'écrasèrent tout autour d'eux. Il s'en reçut plusieurs, mais s'arrangea pour couvrir le corps de Bulma qui n'eut rien. Il projeta une commode sur la démone qui l'esquiva sans aucun problème, mais l'objet atteint son but qui était de distraire l'adversaire. Il lui balança le kihoha le plus puissant qu'il put et elle se le prit en pleine figure. Il attrapa la main de Bulma et l'entraîna dans les escaliers. Au moment où ils arrivaient dans le salon, Végéta balança la jeune femme sur le canapé.
- Ne bouge surtout pas ! Je l'ai étourdie mais elle va arriver dans trente secondes.
En effet la démone arriva, précédée d'une boule de feu que Végéta évita in extremis.
- Nom de... ! répéta Végéta.
Il se jeta à gauche, évitant de justesse une autre boule de feu.
- Ça serait plus facile si tu arrêtais de bouger, tu sais ? dit la démone.
- Compte là-dessus, grogna Végéta.
Elle balança une dizaine de boules de feu sur le saïyen qui en évita la plus grande partie, mais l'une d'elle s'écrasa sur son bras droit, ce qui lui arracha un cri de douleur. La démone se planta devant Bulma, une boule de feu à la main. Avec un sourire, elle la lança. Bulma hurla.


Je suis très sadique de couper à cet endroit, mais bon, je vous donnerai la suite plus tard... si vous êtes sages. Et si ma jument arrête de taper partout dans son box, elle va bientôt pouliner mais c'est pas une raison pour détruire la maison....


Je dois le faire Végéta. J'espère que tu comprendras. Ne m'en veux pas.

bien bien bien
je viens de lire tout d'une traitre, Chapeau !
Pas de faute repérée, du dialogue, de la narration ... bref, que demander de plus ?!!!!
Si, de la compréhension, le début est vraiment flou pour moi, j'espère comprendre un peu mieux.
avec tous ces personnages, piouf !

continue ainsi !

=)

Merci beaucoup, je suis super contente que tu aimes ma fic, parce que les tiennes sont O.O absolument géniales mais ne t'inquiètes pas pour les persos, tu vas comprendre, et ça va en boucher un coin coin à plus d'une... niarf *mon côté sadique se réveille mdr*

Merci beaucoup ! n'hésite pas à commenter lol
Et la suite ?? !!
xD

ah non, faut faire durer le suspense !!! Tu te demandes ce qui va arriver à Bulma, hein ? Eh ben t'attendra demain pour le savoir !!! mdr A moins que tu ne sois très sage et très gentille...

jte propose un truc, tu mets une suite, je mets une suite ...

sinon, moi, je suis toujours sage et gentille !!!!

ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!!!!! excellente idée !!!! Allons-y !!!!
Que va-t-il arriver à Bulma ?


La démone se planta devant Bulma, une boule de feu à la main. Avec un sourire, elle la lança. Bulma hurla.
La boule ne l'atteignit jamais. Végéta s'était jeté devant elle et se l'était reçue en pleine poitrine.
- Tu ne la...toucheras pas !
- Tu as du cran, s'amusa la démone. C'est pas mal.
- Tu n'as encore rien vu... sourit Végéta.
Et il balança son pied dans sa cage thoracique. Le souffle coupé, la démone bascula en arrière. Il rassembla ses dernières forces et lui infligea un kihoha incroyablement puissant au moment précis où elle se relevait. Elle ne se releva plus jamais. Son corps disparut au moment où elle toucha terre.
- Végéta, s'exclama Bulma en courant vers lui. Végéta tu vas bien ?
- Ça va, ça va...
Mais il tomba à genoux, son bras et ses omoplates irradiaient d'une douleur insupportable.
Bulma s'agenouilla doucement à côté de lui.
- Fais-moi voir ton bras.
- Non, c'est bon, j'ai rien, c'est pas très grave.
La jeune femme saisit le bras du Saïyen et le palpa.
- Pas très grave ? Il est cassé, Végéta ! Où est-ce que cette cho...
- C'était une démone des Limbes.
- ...démone des Limbes t'a touché encore ?
- Dans le dos, capitula Végéta.
La belle terrienne enleva doucement le T-shirt du saïyen, étouffant un cri lorsqu'elle vit la peau violette entre les omoplates du guerrier.
- Il faut soigner ça. Tu peux marcher ? Je vais m'en occuper.
Bulma conduit Végéta dans la chambre de ce dernier où il s’assit sur le lit. La jeune femme dévalisa l'armoire à pharmacie de la salle de bains principale et revint.
- Ne bouge pas surtout. On va d'abord s'occuper de ton bras. Oh, et tiens, un verre d'eau pour rincer ta bouche, ajouta Bulma qui avait bien remarqué que le guerrier avait la bouche pleine de sang.
Il souffla un merci, et se laissa panser en fermant les yeux d'aise. Bulma enroulait les bandes soigneusement, prenant bien garde à ne pas trop serrer et à ne pas lui faire mal. Elle fit un bandage en écharpe, mais sans la mettre pour l'instant car elle n'avait pas bandé le dos.
- Et voilà, c'est fini pour le bras. Ne bouge pas, je vais faire le dos.
Bulma dévissa le bouchon d’un tube de crème et en étala partout là où la peau était violette et en profita pour lui masser le dos. Il grogna, mais de plaisir. Elle lui banda le dos et le torse et pour finir, elle mit son bras en écharpe.
- Et voilà monsieur le prince de l'espace ! Terminé !
- Dommage, fit le saïyen un sourire narquois aux lèvres.
- Mais pour le massage, je peux continuer si tu veux... répondit la terrienne avec le même sourire.
Le sourire du Saïyen s'élargit et il se laissa tomber sur le dos, ce qui lui arracha un «hmpf» de douleur et fit disparaître son sourire. Bulma étouffa un fou rire et porta son regard sur les gros trous dans les murs. La jeune femme soupira.
- Heureusement que mes parents sont en vacances, soupira-t-elle. Mais il va bien falloir trouver une raison pour expliquer les trous...
- T’en auras pas le temps. Je t’emmène dans le seul lieu où tu seras en sécurité dès que je pourrais marcher, fit Végéta en se relevant brusquement, ce qui le fit grimacer.


Et voilà, c'est un peu plus long que les autres chapitres, mais tant mieux, n'est ce pas ? xD
La suite demain !!! Au plus tard dans la journée, peut-être...

Ah il faudrat bien qu'un jour ces deux la soit tranquil sans préparations pour battre ses ennemis, ni sans ennemis direct a combattre les pauvres.

Les amoureux ont droit à la tranquilité.

Enfin en même temps c'est pas pour Végéta ça de rester sans rien faire.

Continue ainsi. J'aime beaucoup.

P.S. : je viens d'avoir une super idée pour une prochaine fiction sur ce couple oulà dés que celle que j'ai en cours seras fini ça vas déchirer.

superbe suite !!
Ils sont ensemble là nos tourtereaux ?
Sinon, bien décris etc
continue ainsi !


Elphyra, mets toi à écrire, si cest sur Veggie et Bulma, je suis deja fan !!!

=)

oui Elphyra, je veux savoir tu m'as mis l'eau à la bouche !!!! Bouhouhou pas possible de faire dodo, trois tonnes de devoirs pour demain et une nouvelle nuit blanche pour guetter la naissance de mon/ma poulain/pouliche en perspective... Bon allez, pour faire passer tout ça, je vous mets la suite :


La terrienne resta interdite. Le saïyen voulait la mettre en sécurité ? Depuis quand comptait-elle pour lui ?
- Je ne fais pas ça pour ce que crois, dit Végéta qui avait bien compris le fil des pensées de la jeune femme.
- Où ça ? l’interrompit Bulma.
- Sur une autre planète.
- Hors de question.
- Quoi ?
- Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans « hors de question » ? s’énerva la terrienne. Tu crois que tu vas pouvoir me manipuler comme tu veux et prendre le contrôle de ma vie comme ça ?
Et elle s’en alla brusquement de la chambre, y laissant un saïyen stupéfait. Bulma alla dans la sienne et se laissa tomber sur son lit. Elle se releva et décida de se rafraîchir les idées sous une bonne douche. Elle leva le front sous le jet brûlant qui décontractait ses muscles. Elle se savonna et se rinça longtemps, faisait durer le plaisir. Elle décida enfin à sortir, s’enveloppa dans une serviette et sortit de la salle de bains. Elle sursauta en voyant Végéta assit sur son lit.
- Je te dérange, peut-être ? siffla-t-elle.
- Non, répondit-il. Mais je crois que tu n’as pas très bien compris.
- Oh, voyez-vous ça ? fit Bulma, sarcastique.
- Ça suffit ! Tu as vu la démone ? Si on ne va pas là-bas, il y en aura 4 ou 5 en même temps et là, n’espère même pas que je puisse faire quoi que ce soit. Si j’ai réussi à tuer celle la, c’était de la chance ! Rien que de la chance.
- Pourquoi tu veux m’emmener ?
Le saïyen se figea. Cette question ne lui avait jamais traversé l’esprit. Il repensa au combat qu’il avait mené contre la démone. L’angoisse qu’il avait ressentie n’était pas pour lui, mais pour elle. Il avait eu peur que la démone la tue et qu’il ne puisse rien faire. Il s’était fait plusieurs blessures graves, au dos et à la poitrine pour la sauver. Pourquoi ?
Bulma senti le désarroi de Végéta, et vit qu’il était perdu. Elle allait prendre la parole lorsque le saïyen la devança.
- Tu as le choix : si tu veux survivre, il faut que tu viennes avec moi. Sinon...
- Comment tu sais tout ça ?
- Tout ça quoi ?
- Le fait que ce soit une démone des Limbes, qu'il y en aura 4 ou 5 en même temps, que...
- Je le sais, c'est tout.
La jeune femme soupira. Végéta s'était fermé comme une huître, inutile d'espérer obtenir des informations.
- Tu peux sortir de ma chambre ? Je voudrais bien m'habiller, je commence à prendre froid, là.
Il se leva et se plaça derrière elle, l'attirant contre lui. D'abord étonnée, Bulma se serra ensuite contre le corps délicieusement chaud du saïyen en fermant les yeux d'aise. Il passa son bras gauche juste sous sa poitrine et sa tête dans son cou.
- C'est un moyen comme un autre de se réchauffer, commenta la jeune femme en souriant.
Le saïyen sourit lui aussi mais ne répondit pas. Il huma l'odeur sucrée de son corps chaud, ses cheveux doux comme de la soie, sa peau nacrée, sa... Puis, sans prévenir, un vide dans sa poitrine, il n'arrivait plus à respirer. Son dos le faisait atrocement souffrir, tellement que...Végéta tomba à genoux, en proie à une effroyable douleur.
- Végéta ! s'écria Bulma.
Elle se retourna et vit le sang qui tachait les bandes de lin. La blessure du saïyen s'était rouverte. Le saïyen, à bout de douleur, s'évanouit. La terrienne se précipita et finit par arriver à passer le bras valide du saïyen sur ses épaules. Elle le tira de son évanouissement et réussit à lui faire gagner une chambre non trouée au prix de beaucoup de difficultés. Le saïyen s'écroula sur le lit et se ré-évanouit. Bulma le couvrit et se laissa glisser au sol. Elle aurait bien aimé faire une pose. Se faire attaquer, se faire faire sauver dix fois par Végéta, découvrir qu'il était gentil quand il s'y mettait, s'occuper de lui et le faire avec plaisir, s'engueuler avec lui, découvrir qu'elle comptait pour lui, se faire câliner par lui et voir qu'il était dans un état critique, tout ça en deux heures, elle n'en pouvait plus. Toutes ces émotions différentes, la joie, la peur, le stress, la colère la submergèrent, elle laissa tomber sa tête sur le lit, à côté du bras du saïyen et s'endormit.


Rah la la c'est trop mimi !!! Z'avez vu comme je suis gentille j'ai fait une suite longue !! Ma bonté me perdra... ^^

trop trop trop mimi, mais elle est toujours en serviette, elle va geler !
Pis quand il la prend dans ses bras, trop trop cool
Vite une suite hihi

mdr vas voir ta fic j'ai mis un commentaire tu vas te marrer
ah non, pour la suite faut attendre demain !!! je fais durer le suspense... j'en ai mis deux chapitres aujourd'hui, tu vas pas te plaindre lol !!!

jai vu ton com, merci mdr
Sinon, moi je veux une suite !!!
J'adore franchement, on imagine bien la scène quand il la prend dans ses bras, piouuuuf !!!

=)

merciiiiiiiii trop simpa mais faut que t'arrêtes de me harceler, je suis à deux doigts de mettre la suite mais non je ne dois pas je dois pas je dois pas je dois pas... ^^

genre je te harcèle !!!
pfff
mdr