Voila la quatrième fictions elle sera organise différemment des autres mais toujours le même style.
Allez c partie pour vous.
De l'Ombre à la Lumière : L' Histoire d'une rencontre
Première Partie : Un étranger débarque dans le village
Chapitre 1 : Début de l’histoireMon histoire ? C’est sa que vous voulez connaître, eh bien assiez vous car elle risque de ne pas être courte. Elle n’est ni joyeux no triste, elle est ce qu’elle est.
Tout ce que je vais vous dire est vrai. Je ne vais rien inventer ni exagérer, tout est la pure vérité. Je ne mâcherais pas mes mots, je serais direct et franc.
Notre histoire commence par une nuit sombre, éclairer par la seule lumière de la lune. Dans la nuit deux mouvements dans la forêts faisait du bruit et voyer les arbres se courber.
Un poursuivant et un poursuivie, j’étais le poursuivant, ce que je poursuivait n’était pas humain mais ni pour autant monstrueux.
En tout cas je devais le stopper, et le stopper pour de bon. La mort était mon quotidien, je poursuivait le jour et la nuit des être monstrueux dont les autres ne soupçonner même pas l’existence.
J’étais le Traqueurs du Diable, rattraper les monstres qui s’échapper de l’enfer était ma mission et les tuer.
Je disposait de peu d’outils, un couteau des épées double et une épée solitaire et quelle que petite bricole.
Un sac sur mon dos avec des médicaments pour me soigner en cas de combat difficile. Nous courions depuis quelle que heures mais aucun de nous deux ne semblez vouloir abandonner.
Je me rapprochais de ma cible, de plus en plus près. Je pourrais bientôt l’envoyer rejoindre ses compagnons.
Je lui coupais la route en lui faisant un choc entre épaules, la bête roula sur quelle que mètres, tandis que moi je l’attendais déjà arme à la main.
Mon épée dégainait je l’attendais.
« Homme : - Viens approche, je t’attends. »
La bête rugit elle se jeta sur moi, ses crocs sorties pour m’intimider elle faisait une tête de plus que moi mais je n’avais pas peur.
La bête ressemblait à une sorte de loup-garou. Les griffes acérer elle essayait de me trancher en deux. Moi avec mon épée lui infliger des blessures importantes mais pas assez pour la mettre à terre.
Elle se jeta sur moi, je me baissais et lui rentrer mon épée dans le ventre. Un hurlement se fit entendre, mon épée transperçait de part en part son corps.
Le sang coulait sur mon épée, la bête tomba à genoux après que je retirais mon épée de son corps. La bête rampait pour essayer d’éviter son destin.
Mon épée à la main j’étais là à l’observer, à se vider de son sang. J’adorais ce moment qui montre ma supériorité.
L’épée éclairait par la lune lever vers le ciel sombre et ténébreux, je lui tranchais la tête par un coup sec.
Une bête de plus renvoyée en enfer, son corps se décomposa tout comme tout éléments prouvant son existence.
Je m’étais assis autour d’un bon feu de bois, je nettoyais mon épée malgré la non présence de sang. Un craquement de branche me troubla dans mon travail.
Deux yeux rouges dans la nuit troubler la noirceur de la foret. Crocs sortit elle s’approchait.
« Homme : - Tiens tiens notre petit male sors de sa cachette. Viens je vais te renvoyer avec ta copine. »
La bête fonça sur moi, couteau à la main je lui faisais barrage. J’adorais les combats au corps à corps avec mon couteau.
Au bout de cinq minutes moi et la bête étions blessé mais légèrement.
« Homme : - Quoi c’est tout, tu ne e défends pas mieux que la femelle. »
La bête fonça sur moi, elle me fit rentrer dans un arbre et mon couteau dans son abdomen. Elle s’enfuyait tandis que je la poursuivais.
On arrivait près d’une falaise. Elle ôta mon couteau et se jeta dans le vide, moi je l’attendais à sa sortie du haut de la falaise.
Je ramassais mon couteau et le ranger, sortant de la rivière qui avait amortie sa chute. La bête rugit et s’enfuie, elle savait que l’on se retrouverait.
Un village était non loin de là, je la vis se cacher dedans, j’avais une nouvelle destination. Le jour n’allai pas tarder à se lever donc je dormis quelle que heures.
La chasse ne reprendrais que le soir suivant, le matin se leva j’éteignais le feu et me diriger vers ma nouvelle destination.
La civilisation, c’était une chose que je n’appréciais pas vraiment mais je n’avais pas le choix. La porte était en vue, je n’avais plus qu’à entrer à l’intérieur.
Apres un moins de solitude j’avais besoin de recharger mes affaires ma nourriture et tout le reste. Je frappais à la porte et on me répondit quasi-immédiatement.
« Garde : - Qui va-là ? »