Le changement

Voila voila, une nouvelle petite fic.
Bin oé, vous avez l'air d'aimer les autres, donc j'en mets une nouvelle pour voir si vous allez aimer.

Voici donc le premier chapitre. J'espère que vous aimerez !

Elle se promenait dans une ruelle sombre. Peur, elle ne connaissait plus ce mot, depuis qu’elle avait invité un guerrier peu commun, à vivre chez elle. Que lui était il passé par la tête, à ce moment précis ? Un espoir de se dire qu’il allait se bonifier comme Petit Cœur ? Une attirance quelconque pour lui ? Ou tout simplement de la pitié ? Elle n’en savait rien mais dès à présent elle regrettait amèrement … Elle était sûre que jamais il ne serait aussi sage que Petit Cœur. Mais malgré tout ce qu’il lui faisait endurer, elle ne pouvait aller contre ses sentiments. Il ne lui faisait plus peur pour une seule et unique raison : elle l’aimait. Elle n’était elle-même pas sûre de ce sentiment. Comment aimer un homme si monstrueux qui n’avait, avant aucune pitié ? Tout ce qu’elle pouvait constater, c’était qu’il avait changé, toujours un caractère de cochon, fier et orgueilleux prince de Sayen, mais elle était sûre que maintenant, la Terre n’allait plus être détruite, comme dans ses projets monstrueux.
La ruelle s’assombrissait de plus en plus, la seule lumière de guidage était la Lune et les milliards de petites lucioles qui tapissaient le grand ciel d’un noir profond, aussi noir que ses cheveux, ses yeux …
Elle se hâtait, elle ne voulait pas rester dans cet endroit qui sentait l’humidité, excréments et toutes autres odeurs encore non identifiés. Un mouchoir à la main, elle respirait son parfum, unique odeur de bien être dans cette ruelle sombre et sans fin. Soudain, des pas s’approchaient d’elle, ils se dépêchaient, comme elle, de la rattraper. Bulma sentit son corps la lâcher. Un frisson parcouru son dos et alla finir sa course sur son ventre. Ses pas redoublaient en allure. Elle avait compris qu’elle était suivie.

« En même temps, pas étonnant, se disait elle, de la façon dont je suis habillée et une belle jeune femme comme moi, dans cette ruelle … »

Elle marchait toujours aussi vite et se prit un poteau en pleine figure, ce qui la fit tituber jusqu’à la terre ferme. Elle ne voyait toujours rien dans cette nuit noire. Mais elle avait foncé dans quelque chose et à ce contact, ce n’était certainement pas un poteau mou …
Elle se releva difficilement, frottant ses fesses endolories par le choc. Elle se mit sur ses gardes et essaya de voir si ce fameux poteau était toujours là.
Elle sentit un courant d’air, ou plutôt deux, dans son dos. Ils étaient donc plusieurs. Bulma garda son sang froid. Elle s’était promise de ne plus jamais avoir peur. Mais dans ces moments là, sa promesse était facilement rompue. Quand tout à coup, les deux hommes derrière elle lui attrapèrent les deux bras. Bulma émit un faible cri, mais des plus stridents, les cris que seules les femmes peuvent atteindre. Prise au piège, elle ne se débattait pas. Elle attendait ce qui allait se passer. L’autre, en face d’elle, la regardait un sourire étrangement soucieux aux lèvres.

« Alors, ma poupée, que fais tu ici, en pleine nuit !? » lui demanda t il, en se rapprochant de plus en plus.





C'est petit n'est ce pas,
ce n'est qu'un début.
Zen dites quoi?

aaaaaaaaaaaaaaaargh salopard foutez lui la paiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiix ou sinon j'vous préviens j'invoque ma magie et je vous garantis que vous allez pas faire de vieux os, c'est clair ?
Sinon, toujours aussi bien ma belle, continue comme ça !!!!


Le Pamplemousse qui ne se doutait pas que son image était si grande

merciiiiiii <3

je suis contente que ca te plaise !

xD j'exige que tu mettes la suite demain, et elle a intérêt à être longue parce que la mienne elle est du tonnerre !!!!


Le Pamplemousse exigeant

ui mes chapitres sont plutot longs.
No soucis pour demain, si tu me mets ta suite, une partie ce soir et une partie demain ......
jpourrais meme mettre ma suite auj, si tu veux mettre ta première partie auj

Oula c'est compliqué cette affaire !!!
Malheureusement, la partie de ma fic que j'ai écrite est trop courte pour que je puisse la poster et il faut que je quitte l'ordi donc on devra attendre demain toutes les deux xD


Le Pamplemousse qui doit y aller

Aaaah, mon coeur se brise ....
Bon tant pis.
On verra demain

Haaaan laissez moi tranquille T_T

Super fic =)

suite du premier chapitre ....
j'appelle ça du chantage, TMTC

zouuuh

Bulma ne daigna pas répondre. Aucune possibilité de dialoguer avec ce genre de personne. Elle resta de marbre, cachant sa peur. L’homme se tenait près d’elle et lui prit le visage entre ses doigts poisseux. Il regarda la jeune femme sous toutes les coutures. Une beauté telle qu’il n’en avait jamais vue. Des yeux d’un bleu persan, qui ne montraient que de la fierté, aucune peur. Un nez courbé, parfait et des lèvres rosées, pulpeuses. Aucune trace d’imperfection. Un visage de … poupée ! L’homme avait touché le gros lot. C’est du moins ce qu’il pensait. Il lâcha sa prise et fit un signe de tête aux deux autres hommes qui tenaient, serraient, ses pauvres bras endoloris. L’un desserra peu à peu et se baissa pour ramasser quelque chose. L’un prit les deux bras et redoubla de force. Elle ne devait pas bouger. Ce qu’elle ne fit pas. La peur ne traversa même pas son esprit lorsqu’elle vit une seringue l’approcher, jusqu’à pénétrer douloureusement dans son bras gauche. Elle sentit le liquide traverser ses membres, circuler dans son sang et son corps. L’aiguille était grosse et dans son bras si frêle, elle lui était insupportable. Le liquide était épais, la piqûre dura longtemps, laissant à Bulma une douleur atroce. Elle supportait plus ou moins, mais surtout, elle ne voulait pas montrer à ces ordures qu’elle était faible. Elle avait appris à tenir tête à tous, avec un regard indéchirable. Avec un fier prince guerrier chez elle, elle en avait le temps. Le même regard que lui, elle savait le faire, le reproduire. L’homme en face d’elle crut avoir peur, mais elle n’était qu’une femme…
Enfin, l’aiguille se retira vivement de son bras, laissant s’échapper des goûtes de sang. Les hommes ne prirent pas soin de l’essuyer et celui qui faisait la piqûre, reprit le bras endolori, le gauche et serra encore plus fort. Bulma se sentait partir. Elle ne savait qu’elle était cette drôle de mixture dans son corps. Une drogue certainement. Elle ne devait pas se laisser partir, elle devait se défendre. Elle avait vu Goku, Végéta se battre, elle avait assisté à beaucoup de combats, elle savait se défendre. Mais son bras lui faisait défaut. Il était endolori.

« Tu sais ce qu’on t’a injecté, poupée ? Cette substance était le projet sur laquelle je travaillais, au laboratoire de Satan City. Mais, ces bouffons, ils m’ont viré, à cause d’un mauvais mélange ! Cette substance aurait du être un vaccin qui révolutionnerait toutes maladies ! Mais il s’est transformé en un corps vivant qui multiplie les forces du corps qu’il possède. Ta vie va changer et finalement, ton corps ne tiendra pas le coup… tu mouras à petit feu ! » L’homme riait. Il était fou ! Bulma ne prit pas peur. Elle n’avait pas peur de la mort. Mais elle devait se l’avouer, cette potion avait décuplé ses forces. Elle se sentit grandir. Elle réussit à mettre au tapis les deux hommes qui la retenaient et envoya un coup de pied mal placé à l’homme qui venait de parler.
Elle prit enfin la fuite. Elle courait à travers la nuit. Son souffle se hâtait. Mais elle ne se sentait pas essouffler. Elle sortit enfin de la ruelle et apercevait la Capsule Corp’.

kiyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa super Bulma en force xD
et c'est pas du chantage, t'avais promis xPPPPPPPPPP
ma bulma d'amour, qu'est-ce qui va t'arriver ??????


Le Pamplemousse inquiet

Bonne nouvelle fiction, cela promet d'être intéressant, on va voir que va lui faire vraiment cette drogue.

chapitre 2


Elle voyait de la lumière dans la maison. Ses parents n’étaient pas encore couchés, et Végéta ? Son regard se déposa sur la salle d’entraînement et par surprise, elle était éteinte. Il devait certainement prendre sa douche et manger… Elle hésita à entrer, elle ne voulait pas voir ses parents et encore moins Végéta. Pas après ce qu’il venait de se passer. Elle entra tout de même, ne claque pas la porte, mais l’ouie de sa mère avait toujours été bonne, ce qui étonnait tout le monde. Elle alla accueillir sa fille chérie. Bulma ne se sentait pas très bien. Elle ne voulait pas raconter son aventure.

« Maman, je vais me coucher sans manger, je me sens fatiguée… » Sa voix était faible.

Elle fit un signe de la main, tout en disparaissant dans la cage d’escalier, direction sa chambre. Elle s’arrêta devant celle de Végéta et écouta. La douche était en marche. Elle avait raison ! Elle ne s’éternisa pas et alla s’enfermer dans sa chambre. Elle se déshabilla rapidement et se faufila sous sa douche, elle aussi. Elle se sentait sale, elle se frictionna. Cette douche fut très rapide. Elle s’enroula dans une serviette blanche et se regarda dans son psyché. Rien n’avait changé. Son corps était toujours aussi frêle. Elle ne se sentait pas plus forte. Le produit n’avait sûrement pas fait effet. Elle regarda son bras à son tour. Il était comme inutilisable. Il était lourd, toujours autant endolori. Elle ne pouvait pas s’en servir, ça non.

« Heureusement qu’ils me l’ont fait du côté gauche. Même si je suis ambidextre, je suis droitière d’abord. » Marmonna t elle.

Elle enfila sa chemise de nuit rouge pétant et courte et entra dans son lit. Toute cette histoire l’empêchait de trouver le sommeil. Elle tournait beaucoup dans son lit et eut rapidement chaud. Elle envoya valser sa couette et resta sur le dos. Impossible de dormir sur le flan gauche à cause du bras. Aucune position ne lui convenait. Et le sommeil ne venait toujours pas.
Elle entendit ses parents se coucher. La maison était enfin déserte. Elle descendit, se prépara un festin et s’installa devant la télé. Rien ne lui convenait. Elle était devenue assez difficile. Elle zappa rapidement et décida de mettre un film. Elle s’installa confortablement et attaqua son repas.

« Tu n’es pas couchée ! » dit une voix dure.
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Bulma se retourna violemment et se mit sur ses gardes. Drôle de réflexe ! Elle se détendit lorsqu’elle vit qu’il ne s’agissait que de Végéta. Elle se rassit et ne prit pas la peine de répondre et recommença à manger.
Végéta alla se préparer un encas lui aussi et manger seul dans la cuisine. Il avait vu le peu de vêtement que portait Bulma. Il l’a trouvait vraiment à son goût. Mais la chanson était toujours la même, sa fierté l’empêchait de faire quoi que ce soit. Il finit de manger et repassa par le salon où Bulma était toujours éveillée. Il était très étonné, elle qui était une marmotte. Il remonta dans sa chambre et se reposa, ne trouvant, lui non plus, le sommeil.

Après avoir regarder son film, Bulma remonta en furie dans sa chambre. Sa vitesse avait drôlement augmenté. Elle s’arrêta devant la porte de Végéta. Elle savait qu’il ne dormait pas. Elle posa sa main sur la poignée et tourna lentement, pour ne pas faire de bruit. Elle se faufila et entra dans la chambre. Elle était entièrement dans la nuit, mais ses yeux s’adaptèrent facilement. Elle voyait l’être, couché dans son lit paisiblement. Elle s’approcha à pas de loups et se retrouva aux côtés de Végéta. Il lui tournait le dos mais ne dormait pas. Il écoutait, analysait la situation.

« Allons, je sais que tu ne dors pas, Végéta » Dit Bulma, d’une voix douce et sensuelle.




Le suspense heeeeein

gaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
*bave*
youhouhou !!!!
un p'tit lemon ?
toujours aussi génial ma choupette !!

AAAAAAAAAAA vilaine ne coupe pas la est ce que Végéta va se rendre compte de son changement, est ce qu'elle va elle même lui dire ce qui lui est arrivé trop de choses dans mon cerveau dérangé.

Continue sur ta lancée.

Ca vous dit un lemon, ou pas ?

LEMON LEMON je veux voir ça et baver devant l'ordi ou la console suivant la ou je serais.

bin tu sais quoi, je pense que tu vas pas être déçue !!
Mais je sais pas si je vous fais poireauter, ou non ........ xDaaaay

LE-MON
LE-MON
LE-MON

je t'aime ma clairounette d'amour tu n'es pas cruche du tout, tu es géniale, super, fantastique, incroyable, supergéniallissime

mets moi ton lemooooooooooooooooooooooon

s'te plaît...

Bon

parce que la plupart des filles sur ce fo' est obsédée .... *Quoi, comme moi, naaan pas du tout*, je mets la suite.
Une ptite douceur pour vous, les gronzesses !! Z'allez pas être déçues !!!

goooooo

« Allons, je sais que tu ne dors pas, Végéta » Dit Bulma, d’une voix douce et sensuelle.

Végéta se retourna et se posa sur ses coudes. Il la dévisagea et la trouvait de plus en plus sexy. Mais, forcément, il se reprit vite, envoyant bouler toutes les images qui flottaient dans son esprit.

« Que fais tu dans ma chambre, femme !

-Je tiens à te préciser que mon nom est Bulma ! Tu es hypocrite avec moi, méchant et pourtant je suis attirée par toi. Ne me demande pas pourquoi ? Je ne sais pas moi-même. Mais je n’ai plus peur de toi, je n’ai jamais eu peur ! Alors, cette nuit, je vais profiter de ma vie et avec toi. Je me fiche complètement de ton avis. Profiter de la vie, c’est tout ce qui me reste à faire, avant … » lui répliqua t elle, énervée !

Elle s’approcha du guerrier et l’enjamba de façon à se retrouver au dessus de lui. Elle déposa ses lèvres sur le torse de Végéta qui ne plaça aucun mot. Il était très étonné mais assez ravi quand même. Il se prit au jeu de Bulma. Mais avant de faire quoi que ce soit, il la laissa faire, profitant un maximum de la douceur de ses baisers sur son corps chaud et parfumé. Soudain, elle ajouta ses mains baladeuses à ses baisers d’amour. Elle passa sur ses joues et descendit dans le cou. Elle passa doucement sur les épaules pour arriver sur ses bras. Au niveau des coudes, elle glissa ses mains sur les hanches de Végéta, ce qui le fit râler de plaisir. Elle trouva enfin l’unique bout de tissu qui l’agaçait au plus haut point. Végéta releva sa tête et se positionna sur ses coudes. Il attendit la jeune femme qui allait passer à l’action et hop, il attrapa ses hanches et la fit basculer, de façon à se retrouver au dessus d’elle, son corps entre ses jambes. Bulma ne respira plus. Elle le regarda avec un air interrogatoire. Il s’approcha de son oreille gauche, lui lécha le lobe et souffla : « A mon tour de m’amuser ».
Bulma fit les yeux ronds. Elle s’attendait au pire. Il commença par embrasser délicatement le cou de la jeune femme. Elle tourna la tête vers la droite pour faciliter le passage de la langue de Végéta sur son frêle cou, et afin de profiter un maximum. Il prit un certain temps à contempler chaque parcelle de son cou. Il arriva enfin sur le buste. Il passa sa main pour sentir la douceur de la peau de Bulma et ne se fit pas prier. Il attaqua le haut des seins, avec ses lèvres, sa langue et ses dents. Bulma était en extase. Elle ne pensait plus à rien, et surtout pas à sa journée. Elle se laissa aller dans le pays du plaisir. Elle était tellement barrée, qu’elle ne se rendit pas compte que Végéta était arriver sur son ventre. Elle se redressa et le vit près à accéder au chemin interdit. Il releva la tête et s’avança vers elle, tel un félin près de sa proie. Tout en remontant ce corps tant désiré, il passa ses mains sous la chemise de nuit de Bulma, afin de lui enlever, une fois arriver en haut. Enfin, il sauta sur ses lèvres pulpeuses. Elle l’agrippa de toutes ses forces. Ses mains sur sa nuque musclée, descendirent le long de son dos. Ainsi, il était à genoux et elle assise en tailleur. Elle passa ses jambes autour de la taille de Végéta et ce dernier s’allongea sur elle, pour être mieux installé. Sentant l’action venir, il arracha son short et fit grimper sa belle au 7ième ciel. Jamais elle n’avait autant été désirée. Jamais elle n’avait autant donné d’elle-même. Jamais elle ne s’était autant lâchée. Un fragment de sa vie amoureuse passé avec Yamcha l’effleura. Elle n’avait jamais goûté à ce genre de fête. Elle fit vite disparaître son ex petit ami et passa le reste de la nuit avec l’homme qu’elle aimait. Tous deux épuisés, ils s’affalèrent sur le lit, en sueur. Bulma se recouvrit d’un drap et posa sa tête contre le torse de son homme. Lui, le prince des Sayens, était vidé de toute son énergie. Il ferma les yeux et commença à s’endormir, avec les images bien fraîches de son aventure. Mais soudain, il repensa. Il était assez perturbé quant à la dernière phrase de Bulma : « Profiter de la vie, c’est tout ce qui me reste à faire, avant … » Avant quoi ?!
*****

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa encoooooooooooooooooooore c'est trop trop trop, enfin du perversssssssss.

J'adoreeeeeeeeeeeeeeee

gaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
*bave*

par les couilles de ravaldar, tu m'avais promis un lemon du tonnerre et tu as tenu tes engagements !!!!!

encore encore encore !!!!!

perverpower xD

merci merci
Vous êtes contentées ??? z'êtes sures ???
J'étais pas très inspirée pourtant.
Ravie que ca vous plaise mes perverses !!

xD évidemment que ça me plaît !!!
d'ailleurs le mien, plus je le lis, moins je l'aime
je vais le refaire

Haaaaaaaaaaaaan vi ! Vivement la suite ! *bave* Veggieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

une tite suite les zouzoux et ma choute d'am d'am !!
vila

Le matin arriva. Végéta était seul dans son lit. Bulma était dans sa chambre et se regardait à nouveau dans son psyché. Elle avait de sacrées marques, Végéta n’y avait pas été de main morte. Elle leva ses yeux vers son regard. Il avait changé. Elle regarda de plus près et vit ses yeux bleus devenir rouge sang. Plus aucune trace de l’océan dans son regard. Il était devenu sang. Choquée, Bulma s’assit sur son lit. Elle réfléchissait. Tous ses changements. Ce n’était pas normal. Le sérum, dans son corps, faisait effet. Elle se prépara et prit soin de mettre des lunettes de soleil. Elle passa devant la chambre de Végéta, celui-ci venait de sortir et remarqua les lunettes de Bulma. Il avait senti qu’elle avait changé. Il lui attrapa le bras gauche et retourna Bulma vers lui. Le bras de Bulma la faisait souffrir, mais elle arrivait à tenir tête à cette douleur. Végéta approcha ses doigts vers les lunettes de Bulma. Mais elle fut plus rapide, dégagea son bras et recula. Elle se rapprocha et l’embrassa. Puis elle partit vite, sans se retourner. Végéta resta sur place. Il était intrigué par l’attitude de Bulma. Il fallait qu’il lui parle. Bulma partit donc de chez elle, en direction du fameux laboratoire de Satan City. Son ami, le docteur Marcho, allait l’aider. Végéta lui alla s’entraîner et décida de parler à Bulma, dès son retour.
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Bulma arriva devant le grand bâtiment blanc. Elle entra et se dirigea directement vers le bureau du docteur Marcho. Elle ne frappa pas et s’installa devant son bureau. Lui, était au téléphone. Il vit son amie quelque peu agitée. Il mit fin, plus rapidement qu’il ne croyait à son appel. Il regarda son amie.

« Bulma, enlevez vos lunettes. » dit il calmement.

Bulma s’exécuta. Elle garda les yeux fermés et releva la tête vers son ami. Il attendait de les voir, mais il savait déjà ce que Bulma avait.

« Ouvrez les s’il vous plait. »

Bulma hésita. Mais elle les ouvrit finalement. Elle regardait droit dans les yeux le docteur. Celui-ci ne semblait pas effrayé. Il savait tout à fait à quoi il s’attendait. Il se leva, sans un mot de réconfort pour la pauvre Bulma.

« Dites, vous comptez me parler un jour ? » dit elle énervée.

« Suivez moi ».

Ils partirent en direction d’une grande pièce blanche. C’était presque étourdissant pour Bulma. Ses yeux piquaient. Elle n’arrivait plus à les tenir ouverts. Elle remit ses lunettes et agressa une nouvelle fois le docteur Marcho.

« Dites, vous en faites exprès ! Faites quelque chose ! Votre zinzin de laborantin m’a administré un drôle de sérum. Je me sens complètement différente ! Je fais des choses que jamais je n’aurai du faire… et ses yeux ! Ils sont horribles. Vous avez bien un antidote, ce fou m’a aussi annoncé que j’allais mourir …

-Je vois. Bulma, il faut que vous sachiez que depuis la fabrication de ce sérum, nous travaillons jours et nuits sur l’antidote. Mais il n’a pas encore été achevé…

-Et moi alors, il me reste combien de temps ? Je me sens vraiment bizarre, j’ai envie de me battre, de tout casser ! C’est normal ?!!

-Bien sur, c’est l’effet du sérum. Il décuple vos forces et vous donne envie de vous battre. Il faut que vous vous calmiez. Essayez de rester chez vous, loin de toute forme de vie. Vous allez les détester et vous révolter.

-Bon, très bien, je rentre chez moi. Mais tenez moi au courant, docteur ! Je dois mourir quand ?

-Ne vous inquiétez pas. Je vous appelle dès que j’en sais plus. Votre mort n’est pas encore programmée. Pour l’instant, vous n’êtes qu’en phase une de la transformation, il y en a plusieurs mais on ne sait pas combien. Ne vous inquiétez pas, nous trouverons. »

Les dires du docteur ne rassuraient pas Bulma. Elle remit ses lunettes et repartit direction Capsule Corp’. Elle croisait sur son chemin beaucoup de gens. Elle les détestait. Elle les trouvait exaspérant. Elle ne pouvait plus les voir. Elle voulait tous les faire souffrir, les tuer, les exterminer !