Lhistoire damour de Végéta et Bulma

Allez hop, un nouveau topic, une nouvelle histoire xD
je noublie pas lautre, pas dinquiétude, je continuerai à poster les suites
et en prime, 2chap dun coup, ouaaah


CHAP 1 : Un Retour Mouvementé
Le retour de Bulma sur Terre était très attendu par celle-ci. Tous les moments qu’elle avait vécus sur Namek furent, pour elle un vrai cauchemar.
Dans un élan de générosité, elle proposa aux guerriers Namek, ressuscités, de s’installer chez elle, en attendant de trouver une nouvelle planète ressemblante à Namek. Son élan de générosité ne s’arrêtait pas là : elle proposa aussi à Végéta de s’installer chez elle, étant donné qu’il n’avait aucun toit et surtout pour l’avoir à l’œil : il pourrait essayer à nouveau de détruire la Terre, profitant que Songoku ne soit pas là.
Végéta accepta avec grand plaisir, celui-ci avait une idée derrière la tête.
« Très bien, puisque tout le monde reste, on va pouvoir partir en direction de ma maison. »
Aussitôt dit aussitôt fait, ils ne mirent que 30 minutes pour arriver à la Capsule Corp.
Bulma fit visiter sa grande maison mais était tellement épuisé de son voyage qu’elle s’endormit directement sur le canapé, après avoir aidé son père à installer les Namek. Végéta arriva à ce moment là. Il admira la jeune femme et gentil comme il est, la prit par l’épaule et la secoua pour qu’elle se réveille. Bulma sursauta, et commença à devenir rouge de rage :
« Comment oses-tu me réveiller !!! J’étais en train de dormir, espèce de singe de l’espace. !!
- Comment m’as-tu appelé ?? Tu sais très bien que contre moi, tu ne ferais pas de vieux os alors je te conseille de me parler sur un autre ton et de me construire cette fameuse machine pour m’entraîner ! » Tout en disant ces mots, il sentit ses doigts se crisper autour du cou de la jeune fille.
« Lâche moi, tu m’étouffes !!... Mais arrête … je… » Bulma perdit connaissance.
« Mince, j’aurai du y aller moins fort avec elle, il est vrai qu’elle a un corps si faible ! »
Végéta ne voulait pas avoir d’ennuis et laissa la terrienne sur le canapé, comme si de rien n’était.
Malgré tout, il ressentait au fond de lui un manque de tendresse, il s’en voulait un peu. Il retourna sur ces pas et vit Bulma, toujours endormi sur le canapé. Comme elle était belle, avec ses lèvres si pulpeuses et son parfum fruité… il ne résista pas à son charme, car elle en avait, même endormie. Mais sa fierté le remit sur pied et il eut une idée, une idée qui pourrait lui servir, une idée un peu méchante, mais c’est dans sa nature de ne penser qu’à lui et non aux autres.
Il monta dans sa chambre, s’allongea dans son lit et commença à méditer sur cette fameuse idée.
« Oui, c’est une superbe idée, je vais pouvoir faire revivre les miens et surtout régner sur ma planète ahahaha !!


CHAP 2 : Un Etrange Changement
Pendant la soirée, Bulma oublia ce qu’il s’était passé avec Végéta. Elle ne mangea pas beaucoup et se coucha tôt, très heureuse de retrouver sa couette, ses oreillers et ses multiples peluches.
Végéta observait les étoiles. Son plan était défini dans sa tête. Il était sur que cela marcherait et voulait commencer dès aujourd’hui, sans perdre de temps.
« Ma planète va revivre ! »
Il se dirigea vers la chambre de Bulma. Il avait dans l’idée de la séduire. Il voulait la regarder dans son sommeil, l’admirer et peut être même intégrer son rêve. Il s’assit sur le rebord du lit et lui caressa ses cheveux mauves. Il lui chuchotait des mots doux, des paroles d’amour. Bulma avait le sourire aux lèvres
« MMm Yamcha ? Yamcha, c’est toi ??... »
Raté, Végéta ne fut pas reconnu. Tant pis, il recommencera demain. Sur ces mots, il se dirigea dans sa chambre et s’endormit aussitôt.


Le lendemain, Bulma se levait de très bonne humeur : elle avait rêvé de Yamcha. Il lui manquait terriblement. Elle ne put s’empêcher de penser à Végéta : il était la cause de la mort de ses amis et de Yamcha. A cette pensée, elle ne put faire une grimace de dégoût. « Comment ai-je put inviter une vermine pareille, dans ma propre maison, à à peine 2 chambres de la mienne ? Il pourrait venir en pleine nuit pour m’assassiner ou pire … ! »
Elle entendit frapper, elle se dirigea vers la porte, toute joyeuse :
« Bonjour Maman comment vas…..tu ! Mais tu fais quoi là Végéta ? Qu’est ce que tu veux ?
-Boooonjouuuur Buuulmaaa ! Oui je vais très bien et toi ?? Tiens je t’ai apporté ton petit dej’ au lit, avoue que c’est gentil, non ?? Bon je repasserai reprendre le plateau tout à l’heure, bonne ap’ ! »
Végéta avait un grand sourire aux lèvres, Bulma n’en revenait pas : il lui avait apporté son petit dej’ et lui avait parlé gentiment ! Ses yeux étaient ouverts en grand ! Elle referma la porte en murmurant un merci. Sur son plateau, il y avait même une rose rose.
Végéta, derrière la porte, ne put s’empêcher de se gifler, le fait d’être gentil et aimable l’insupportait. « Pour mettre mes plans à exécution, il faut continuer. Courage, tu n’es pas prince pour rien ! Cependant, qu’elle était belle dans cette fine nuisette, les cheveux un peu en bataille et toujours cette odeur fruitée… » Il se remit une gifle « Non, pas de sentiments, je ne suis pas faible !mais pourtant qu’elle est belle… NON NON et NON ! »

pas mal aussi cette histoire =)
met nous vite la suite , mais pense a aérer un peu tes textes , sautes des lignes , mettre des couleur peut être a chaque persos ^^

Hellow
Tout de suite, la suite xD

CHAP 3 : La Première Fois
Végéta ne réclamait plus sa salle spéciale pour l’entraînement. Il voulait passer son temps avec Bulma pour essayer de l’attirer. Il accepta même de l’accompagner faire du shopping, se proposant très généreusement de porter tous ces sacs.

Bulma redoubla de méfiance. Ce n’était pas normal qu’un être sans cœur, qui voulait détruire la Terre, fût si gentil et si charmant. Bulma ne devait pas l’aimer ne serait-ce qu’une seule seconde. Il est tout de même l’auteur de la mort de ses amis.
Lorsqu’ils furent rentrés, Bulma prit le thé et Végéta s’invita avec elle. Il la regardait avec du désir, tout en sirotant son délicieux thé. Bulma le regardait aussi, elle le dévisageait et entama la conversation :

« Dis moi Végéta, tu es gentil parce que tu as failli me tuer la dernière fois ou parce que tu as décidé de reconnaître ton bon fond et de ne plus être si orgueilleux ? »Végéta sentit la moutarde lui monter au nez mais prit sur lui et répondit

« Euh non j’ai décidé de renier mon passé, tous mes actes et de passer la fin de ma vie sur cette magnifique planète. »Tout en disant ses mots, Végéta croisa les doigts, bien sur.

«Et je peux savoir pourquoi tu me regardes ainsi ? Avec ses yeux si doux ?

-Je ne t’ai encore dit à quel point tu étais jolie aujourd’hui ? »

Bulma n’en revenait pas, elle en tomba à la renverse et fut vite rattraper par son prétendant. A ce moment, leurs regards se croisèrent et leurs lèvres se rapprochaient tout doucement.

Pensées de Bulma : « Non je ne peux pas me laisser faire, je me prends dans son jeu, j’aime Yamcha, Yamcha, Yamc… Végéta »

Pensée de Végéta : « Ca y est, elle est tombée dans le piège. MMm ce n’est pas si désagréable que ça finalement. Ses lèvres sont sucrées, c’est si apaisant… »

Le guerrier prit la terrienne dans ses bras, et l’emmena dans sa chambre, sans décoller une seule fois ses lèvres des siennes. Il déposa délicatement Bulma sur le lit et admira sa conquête tandis que Bulma reprenait son souffle après un long et doux baiser. Végéta attaqua le cou de sa victime et commençait à dégrafer les boutons de son chemisier. Elle s’agrippait à cet homme qui, rien qu’avec de doux baisers, la menait déjà au 7ième ciel. Après ces heures mouvementées, les deux amants s’endormirent, l’un contre l’autre. Malgré la chaleur que dégageait ces deux corps, Bulma frissonnait : elle avait l’impression d’avoir trahi un ami qu’elle aimait … oui, qu’elle aimait. Elle avait collé sa tête sur le torse de Végéta. Celui-ci avait réussi à la convaincre, son plan commençait à prendre formes.

Deux jours passèrent, les deux amants ne se parlaient plus, ils étaient devenus très timides l’un envers l’autre. Végéta était redevenu un homme sans cœur et traitait tout le monde comme ses larbins. Bulma se doutait qu’entre eux, ce ne serait qu’une histoire d’un jour, elle s’en voulait d’avoir pensé ne serait-ce qu’une seconde, qu’elle avait des sentiments pour le prince. Elle s’en voulait aussi d’avoir trahi Yamcha.

Végéta avait réussi à obtenir sa salle spéciale mais il continuait d’observer Bulma. Il avait des sentiments pour elle, au plus profond de lui, mais au dessus, il ne se servait d’elle par principe, ce n’était qu’un simple objet pour mettre à exécution son plan.
Bulma n’avait pas changé, elle se sentait observé par ce dernier et se sentit suivi.

« Dis moi Bulma eeeuuh non FEMME ! Tu te sens bien depuis quelques jours ?

-Bien sur que oui, j’ai retrouvé toutes mes forces depuis notre retour de Namek. Pourquoi me demandes tu cela ? Pis dis donc, toujours aussi aimable hein …

-C’était pour savoir, c’est tout. Grr, il me faut de nouveau robots pour mon entraînement et tout de suite, Femme !»

Il déguerpît dans sa chambre et recommença son plan. « Je ne comprends pas, ça n’a pas marché !! Comment est ce possible ?! ».

Végéta, à contre cœur, décida de recommencer, et donc de redevenir gentil. « Il faut que ça marche. »
Il mit son short moulant noir pour l’entraînement et resta torse nu, et retourna voir Bulma.
Celle-ci était en admiration devant ce beau corps, bien formé, avec de légères cicatrices qui lui faisaient tout son charme.

Végéta avait remarqué qu’elle bavait devant lui. Il la regarda. Il sentit son cœur battre à toute vitesse, il n’avait encore jamais sentit ce sentiment. Il était vraiment attiré par cette superbe femme.

Ni une ni deux, il attrapa Bulma, la regardant dans les yeux, elle avait des yeux bleu océan, il ne résistait plus à son charme. Il emmena la jeune femme dans sa chambre, afin qu’ils assouvissent leurs besoins.

Ce fut mieux que la première fois. Et cette fois ci, Bulma ressentait vraiment des sentiments pour Végéta. Végéta ressentait lui aussi ce sentiment, doux, bienfaisant qu’était l’amour, mais le niait complètement.

ah l'amour
c'est une belle fic ^^ vite la suite =)

Youhou !!!
Voici la suite

CHAP 4 : La Transformation
Végéta espérait que cette fois ci, son plan allait marcher. Ce n’est pas que coucher avec Bulma était désagréable, bien au contraire, mais il voulait à tous prix que ça fonctionne.
Bulma en était sûre, dès à présent, elle était tombée amoureuse du prince. Ses baisers, ses caresses sur son corps de poupée, elle n’avait jamais ressentit cela avec Yamcha.

Cela faisait 3 mois que les guerriers morts étaient revenus. Grâce aux boules de cristal des namek, ils réussirent à ressusciter leurs amis et les namek sont repartis dans l’espace.
Yamcha ne voulait pas s’installer chez Bulma ; en effet grâce à Kaiho, il a vu le couple se former. Mais il ne dit rien et préfère s’entraîner, seul, avec Plume.

De son côté, Végéta suivait toujours Bulma, pour savoir si elle était toujours en forme et apparemment, c’était le cas.
Il s’énerva ! Il ne pouvait pas croire qu’il échouait à chaque fois, il faillait donc qu’il recommence son petit jeu de séduction, en espérant que cette fois-ci, ça marcherait.
Mais, au fond de lui, il n’avait plus l’impression de se servir d’elle comme un simple objet. Il commençait à aimer, ce qui le rendit fou de rage. Il ne pouvait pas devenir si faible que cela. Il serra ses 2 poings très forts, qu’il ne vit même pas de petites perles de sang en sortir. Il s’énerva, explosant les parois de sa salle d’entraînement, une lumière dorée apparue, comme une sorte de bouclier. Il avait réussi, il était devenu super guerrier, il était enfin au même niveau que Songoku. On pouvait lire de la supériorité, de la fierté sur ses lèvres. Il reprenait confiance en lui, il redevenait l’orgueilleux guerrier qu’il était dans sa jeunesse car il s’était un peu laissé aller depuis son arrivé dans cette famille très accueillante. Et surtout, il s’était beaucoup rapproché de la terrienne, son unique but était de s’en servir mais au fond de son cœur, il ne pouvait s’empêcher d’éprouver un curieux sentiment qu’était l’amour. Maintenant, il était sur, il aimait Bulma plus que tout, et même plus que son plan. Il restait en lévitation, en train de réfléchir sur lui et son avenir. Voulait-il toujours achever son plan ? Plus rien n’était sur, désormais.
Il se calma pour redevenir normal. Etre transformé en super guerrier prenait beaucoup d’énergie. Il sortit de la salle d’entraînement, se dirigea vers le labo de Bulma.

« La salle est complètement détruite…désolé.

-Heiin ? Tu as bien dit désolé !!!Oula il y a quelque chose qui cloche, non ? Tu as de la fièvre, tu t’es fait mal ?...

-NON euuh non tout va bien Bulma….

-Bon très bien, ce n’est pas grave pour la salle, j’essaierai d’en reconstruire une vite, quand j’aurai le temps. »
Elle retourna à ses occupations et ne vit pas que le sayen était toujours au pas de la porte.

Il continua de la regarder. Il se décida : « Je dois lui dire mais quelque chose au fond de moi m’en empêche… Bulma je t’… »

« Tiens ! Tu es toujours là, forcément sans ta salle, tu n’as pas grand-chose à faire d’autre. Si tu veux on peux aller se balader, loin des gens bien sur, je sais à quel point tu les aimes !

-Bulma … je dois …. Mm d’accord pour la ballade, mais loin de tous ces maudits terriens grr »Il reprit son air supérieur, Bulma reconnaissait bien là son ami.

« Bon va te changer, tu ne vas pas y aller en tenu de combat tu es bien trop sexy et pis prend ta douche aussi, je vais prendre la mienne et on se rejoint devant la maison dans une vingtaine de minutes. »

Sur ces mots, il obéissait rapidement, à contre cœur.
Sous sa douche, Végéta ne put se traiter de dégonfler « tant pis, je lui dirai tout à l’heure. »
Sous sa douche, Bulma repensait à la discussion. « Pourquoi m’a-t-il parlé si gentiment ? Il est si chou quand il est gentil tout de même aaaah ! »

20 minutes passèrent, Végéta était dehors, la tête levée vers le soleil, il attendait sa belle.
Bulma était en train de peaufiner sa beauté et son maquillage, elle voulait plaire au prince.

Elle arriva avec 5minutes de retard :
« Me voilà alors on y va ! Monte dans la voiture, je t’emmène.

-Non je ne veux pas monter dans un si petit engin, allons y en volant.

-Végéta, au cas ou tu l’aurais oublié, je ne sais pas voler comme toi…

-Et alors, je vais te porter ! »

Il la prit dans ses bras, telle une princesse. A ce moment, leurs regards se croisèrent mais se détournèrent aussi vite que son arrivé. Il décolla et sentit les bras de Bulma se resserrer autour de son cou.
Bulma lui indiqua la route et ils arrivèrent près d’une petite rivière, très paisible. Il déposa la jeune femme à contre cœur, car son parfum était très envoûtant.

Bulma tournait et respirait l’air frais et fruité des fleurs de campagne
« AAaah quelle merveille, la nature. Viens, allons nous asseoir prêt de cet arbre. »

Elle sortit une capsule de sa poche et fit « exploser » une glacière, avec des rafraîchissements et une couverture. Ils s’assirent dessus et observaient la nature, silencieusement.

Pensées de Végéta : « comment lui dire ? Elle me fait perdre la tête, ce n’est pas dans ma nature d’être aussi soucieux et gentil. Bon faut que je me lance. »

Pensées de Bulma : « que m’arrive-t-il ? Je me rapproche de l’homme qui a failli détruire la Terre ! Mais je ne peux pas résister, je crois que je l’aime…. »

« Il fait chaud tu ne trouves pas ? Heureusement, j’ai pris mon maillot, je vais aller me
baigner. Tiens ouvre cette capsule, il y a un maillot pour toi dedans !

-Mm…erci Bulma »

Elle alla derrière l’arbre se changer et sauta dans la rivière. Végéta profita qu’elle avait la tête sous l’eau pour se changer et alla la rejoindre, impatiemment.
Après une baignade rafraîchissante, ils ressortirent et s’installèrent au soleil, laissant la nature les sécher et les réchauffer.
« Bulma, je... j’ai quelque chose à te dire….
-…. ?

J'adore trop cette fic sérieusement , vivement la suite , je me demande bien ce qu'il va lui dire.
Bonne continuation.

Mais écrivez nous la suiteeeeeeeee.

tu veux la suite !!
très bien mais je crains que ce fo' soit abandonné donc, plus personne n'y va !!!
bref, pour te faire plaisir, la voici :






CHAP 5 : Le Plan Mis à Jour


«Qu’y a-t-il Végéta ? Ca ne va pas ?


-Ecoute, depuis que je suis avec vous, avec toi, dans ta
famille, je ressens un sentiment particulier, surtout envers toi. »Il
commençait à rougir, mais avec le soleil, Bulma ne le remarquait pas


« Je veux que tu saches que grâce à toi, je ne suis
plus l’homme sanguinaire que j’étais dans ma jeunesse. Il faut que tu saches
que jamais je ne serai un exemple pour toi ou les autres, on m’a élevé dans les
combats, la souffrance. Je voulais juste que tu le saches, c’est tout. »


Le silence régnait. Bulma ne savait pas quoi dire. Elle
savait bien que Végéta ne pouvait changer, elle savait qu’il resterait agressif
et orgueilleux, mais c’est ce qui lui plaisait chez lui. Ne trouvant pas les
mots, Bulma prit son menton entre ses doigts fins, ce qui fit frissonner le
guerrier, et l’embrassa tout doucement, mais passionnément. Végéta prit parti
au jeu, s’installa sur elle et laissa aller ses mains baladeuses. Il s’arrêta
brusquement.


« Je … désolé, je ne t’ai pas tout dit. Les premiers
jours, lorsque je commençais à t’attirer vers moi, je n’avais pas encore ce
sentiment que vous appelez amour. En faite, tu vas m’en vouloir, mais j’avais
élaboré un plan, maiis qui maintenant ne veux plus rien dire pour moi, ne
t’inquiète pas.


-Aah…. Et quel était ce fameux plan ? Tu voulais me
tuer ? Ou détruire la planète ? »


Elle ricana joyeusement et rapprocha ses lèvres aux siennes.
Il la repoussa gentiment.


« Non, ce n’était pas ce genre de plan, si je voulais
faire ça, je n’aurai pas hésité et je n’aurai pas cherché à te séduire. C’est
un peu plus complexe… et j’ai peur que tu le prennes mal …


-Plus rien ne peut me faire changer d’avis. Je t’aime, je
veux passer ma vie avec toi ! Végéta…. »


Ils recommencèrent leur baiser mais Végéta se détacha
d’elle, une seconde fois


« Mais pourquoi ? Pourquoi te retires tu ?


- Je ne peux pas te mentir, tu dois savoir. En faite, mon
orgueil et ma fierté avaient pris le dessus et au début, j’avais une énorme
envie de me venger de vous tous et de faire exploser la planète, mais étant
donné que Songoku était plus fort que moi, je voulais reconstruire mon empire
et refaire vivre ma planète et ses habitants, à l’aide des boules de cristals.
Et avec mon père, c’est sur, j’aurai anéanti cette planète…


-Alors ce n’était que pour cela ? Mais ne t’inquiète
pas, je ne t’en veux pas pour cela, mon chéri… Parce que je sais que
maintenant, tu ne le feras plus, j’ai confiance en toi.


-C’est parce que je ne t’ai pas tout dit, voilà en faite je
voulais un héritier, pour me succéder à mon trône, un fils qui prendrait ma
place, quand je serai dans l’autre monde. Je voulais régner avec un fils à mes
côtés… donc en gros, j’avais besoin de toi pour l’avoir, ce fils…»


Bulma comprit tout de suite où il voulait en venir.


« Alors, tu te servais de moi, depuis le début, ce
n’était que pour cela. Tu voulais que je tombe enceinte pour que tu détruises
la Terre et que tu règnes sur l’univers, … avec notre enfant ? Mais, tu
n’es qu’un salaud ! Tu m’as pris pour une abrutie depuis le début !
Et moi qui étais tombé amoureuse de toi ! Mais quelle
idiote !! »


Sur ces paroles, elle s’habilla rapidement et sortit une
autre capsule, qui explosa en voiture. Végéta n’eut pas le temps de placer un
seul mot et se lança à la poursuite de la voiture, partit en trombe.


Il s’arrêta en chemin, la laissant filer. Après tout, il la
retrouverait ce soir, à la Capsule Corp’.





« MAMAN !!!Je pars quelque temps, je vais habiter
dans une autre ville, dans un hôtel, j’ai besoin de me rafraîchir les idées.
N’essaie pas de me retenir, je suis décidée. !! »


Bulma monta dans sa chambre, prit rapidement sa douche, et
commença sa valise. Pour la première fois, elle ne mit que 5minutes pour la
préparer, étant donné qu’elle prit tout, dans une grosse valise en plastique
rigide. Elle referma la valise et la rangea dans une capsule. Elle ne prit pas
le temps de faire son brushing et de se maquiller.


Elle sortit en vitesse, accéda à sa voiture et partit, sans
dire au revoir à ses parents mais surtout, elle ne voulait rencontrer Végéta,
qui allait bientôt rentrer du lac.


Sa destination était un grand hôtel, située dans la ville
voisine. Elle voulait être seule mais pas trop éloignée de sa famille. Elle
s’installa dans sa somptueuse chambre, se coucha sur le dos sur son lit et
sentit des larmes, perlées, aux coins de ses yeux.


De son côté, Végéta arriva tard dans la soirée à la Capsule
Corp’. Il ne voulait pas faire face à une furie, qui allait probablement lui
remonter les oreilles, vu le retard qu’il avait prit pour rentrer. A sa grande
surprise, il ne fut pas accueilli comme il se devait, ce qui l’énerva un peu.
Il se dirigea dans la cuisine. Il aperçu de la lumière, donc de la vie. Mais au
lieu d’entendre des paroles débitées à toute vitesse, il entendit des sanglots
et des mots de réconfort. Il apparut discrètement au pas de la porte et écouta.


« Ma pauvre fille, ma petite Bulma, partit ! Mais
c’est horrible. Pourquoi est-elle partit ? Pourquoi ? Je veux qu’elle
revienne, elle ne nous a même pas dit au revoir bouhou….


-Allons ma chérie, calme toi, elle a dit qu’elle reviendrait
mais avant, elle doit changer ses idées. Peut être a-t-elle eut des nouvelles
de Yamcha, je l’ai vu récemment dans la rue, avec une rouquine accroché à son
bras, elle a du avoir une dispute avec lui, c’est tout. Allons calme toi,
allons nous coucher. »


A ces mots Végéta se cacha pour qu’ils ne le voient pas et
entra dans la cuisine, avec un air pensif. Il ne pensait pas qu’elle réagirait
de cette façon, il se sentait presque coupable de ne pas avoir couru après
elle, quand elle est partit subitement du lac.


Il s’envola de la maison, en direction de la ville
voisine. Elle n’était pas très loin et il trouva facilement l’hôtel, car
il connaissait par cœur l’aura, très faible, de Bulma.


Elle avait prit la chambre, avec vue sur la ville et avec un
balcon. Végéta s’y rendit en volant. Il regarda par la fenêtre et la vit, mal
coiffée, les yeux tout rouges et gonflés par ses pleurs : elle mangeait le
peu de nourriture qu’elle avait commandé.


Malgré son attitude, elle restait jolie et le prince voulait
frapper, même éclater la fenêtre, la prendre dans ses bras et s’envoler avec
elle jusqu’au bout de la Terre, afin qu’ils puissent parler, tranquillement.


Il n’en eut pas le courage, il voulait la laisser, seule. Il
repartit aussi vite qu’il fut venu, faisant un énorme courant d’air, ce qui fit
réagir la jeune fille. Elle sentait au plus profond de son cœur que quelqu’un
était venu la voir mais elle ne voulait pas l’admettre…


Pendant la route du retour, Végéta sentit une larme
parcourir sa joue, il était triste, il s’en voulait d’avoir fait du mal à celle
qu’il aimait, il avait l’impression d’être devenu son père, un monstre sans
cœur, qui ne pense qu’à faire le mal autour de lui.

Merci d'avoir mis la suite, j'ai découvert ce forum il y a peu, et il est vrai que j'ai vu que plus personne n'avais posté depuis un bye mais vu les dernieres co de certain il y en as qui passe de temps en temps.

Est ce que notre veggie va pouvoir reconquêrir sa belle Bulma ????

mon unique fan xD
je mets la suite, rien que pour toi xD







CHAP 6 : Si Faible ?


Cela faisait plus de 2 semaines que Bulma n’avait donné de
nouvelles que par téléphone. Ses coups de fils étaient brefs, elle rassura
ses parents sur son état de santé et promettait, chaque jour, qu’elle
reviendrait bientôt. Elle ne demandait aucunes nouvelles de Végéta et quand sa
mère lui en parlait, elle raccrochait aussitôt le combiné. Sa mère
cogitait sur cette situation et croyait avoir trouver le problème de sa fille
chérie. Elle décida d’aller parler à Végéta, prenant son courage à deux mains
et utilisa pour la première un ton non chaland :


« Monsieur Végéta, je dois vous parler ! Baissez
la gravité tout de suite. » Elle cria sa phrase derrière un hublot de la
salle d’entraînement. Végéta obéit, difficilement. Après le départ de Bulma, il
était redevenu malpoli avec tout le monde et les prenait pour ses larbins.


« Dépêchez vous, je n’ai pas que ça à faire, femme.


-Ne prenez pas ce ton avec moi ! Je sais très bien que
c’est vous qui êtes la cause du départ de Bulma. J’exige que vous alliez la
voir, vous réconciliez et la rameniez sur le champ ! »


Végéta restait de marbre, il voulait la faire taire à tout
jamais, mais cela aurait blesser Bulma et jamais elle n’aurait pu lui
pardonner.


« Je n’ai rien à voir avec les débilités de votre
fille, maintenant fichez moi la paix ou je vais m’énerver !


-Je sais très bien que c’est à cause de vous alors partez
vite ou je dis à mon mari de vous couper le jus qui alimente la salle et moi je
ne vous fais plus la cuisine ! »


Végéta se sentait tituber, comment ferait-il pour survivre
sur une planète qu’il ne connaissait pas, sans nourriture ni salle
d’entraînement. Il émit un son qui ressemblait à un grognement, alla prendre
une douche puis partit en volant, en direction de l’hôtel de Bulma.


Il traînait en route, il avait comme un pressentiment sur
cette retrouvaille. Il appréhendait l’attitude de Bulma, il ne savait même pas
dans quelle état il la trouverait : bien coiffée, comme toujours avec une
belle robe qui fait ressortir ses yeux, ou alors en pyjama, les cheveux en
pétard ?


Il arriva à l’hôtel et pour retarder encore sa visite, il
prit l’ascenseur, comme tout le monde.


Chambre 746… 748… 750…752 la voilà. Il respira un bon coup
et frappa, mais pas trop fort, pour ne pas fracasser la porte. Il entendait une
voix qui lui disait de repasser plus tard, qu’elle ne voulait, en aucun cas
être dérangée. « J’ai mis une pancarte sur ma poignet pour qu’on ne me
dérange pas ! Repartez ! » Sa voix n’était pas joyeuse, comme
avant. Elle avait changé.


Végéta n’insista pas et décida d’y aller par la voie des
airs. Il se posa sur le balcon et attendait qu’elle tourne la tête en sa
direction, pour qu’il entre. Pendant ce temps, il l’admirait, elle portait un
jean bleu foncé, avec un chemisier rose pale qui faisait ressortir ses yeux. La
chambre était plutôt bien rangée mais le lit n’était pas fait. Elle était
assise dessus, en tailleur. Son regard n’était plus le même. Il était plus dur,
plus méchant. Végéta s’adossa contre la barrière du balcon, les bras croisés
comme à son habitude et la regardait, sans se lasser. Malgré le temps de
séparation qui lui avait fait reprendre conscience de sa position de faible, et
malgré le fait qu’il ne se sentait plus du tout attiré par elle, il avait une
petite boule au cœur, assez douloureuse, maintenant, il pouvait se l’avouer,
faire sa vie sans la jeune femme lui était désormais impossible.


Pendant qu’il était dans ses pensées, il ne remarqua pas
qu’elle l’avait aperçu, qu’elle était en train de le regarder. Son sourire
s’envola et elle fronça les sourcils. Apparemment, elle ne lui avait toujours
pas pardonné.

Merci merci

suite !!






CHAP 7 : La Réconciliation


Elle s’approcha de la fenêtre la fit coulisser et resta dans
sa chambre. Ils se fixèrent longuement en attendant que le premier fasse le
premier pas. Personne ne trouvait ses mots, ils étaient comme paralysés et
attendirent toujours. Soudain Bulma prit la parole, sa voix était
cruelle :


« Puis-je savoir ce que tu viens faire ici,
Végéta ? Comment as-tu su que j’étais là ? Pars je ne veux pas te
voir » Elle rentra plus dans sa chambre et commença à refermer la baie
vitrée.


« Attends ! Je veux qu’on parle… de nous. Sil te
plait…. »


Elle n’en revenait pas, il avait dit sil te plait, un mot,
qu’elle croyait, qui ne figurait pas dans son langage.


« Très bien, entre mais sache que moi je n’ai rien à
dire à un goujat.


-C’est moi qui parlerait alors. »


Il s’assit sur le lit, elle, sur le canapé. Il ne savait pas
par quoi commencer. Devait-il la faire revenir car sa mère lui a dit qu’elle
priverait de nourriture ou parce qu’il aimait Bulma. Végéta était perturbé, par
sa beauté et ses pensées.


« Et bien, j’attends, je n’ai pas que cela à faire….


-Oui oui pardonne moi… je ne sais pas par quoi commencer… je
ne sais plus…


-Et bien on ne va pas aller loin alors, puisque je n’ai rien
à dire. Dans ce cas, tu peux repartir, je veux aller faire quelques courses.


-Non je ne partirais pas avant de t’avoir tout dit. Bulma,
tu me manques vraiment, à la Capsule ce n’est plus pareil, c’est devenu
beaucoup trop calme. Reviens. En plus, ta mère m’a dit qu’elle priverait de
nourriture si je ne te ramenais pas sur le champ. Elle croit que c’est en parti
de ma faute si tu es parti. » Il regardait ses doigts, qu’il tortillait
dans tous les sens jusqu’à avoir mal. Il attendait la gifle
arriver :


« Aah parce que monsieur croit que c’est de ma faute si
je suis partie. Tu m’as traité comme un objet, tu as voulu te servir de moi et
ça, c’est impardonnable. Et puis tu viens me demander de rentrer pour ton
estomac, tu ne penses même pas à moi, tu ne penses qu’à toi. Tu n’es qu’un
méchant, un misérable, je te déteste…. »


Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il colla ses
lèvres sur les siennes. Il ne pouvait plus se retenir, il était trop attiré par
cette femme, qui était de plus en plus belle lorsqu’elle s’énervait. Bulma ne
repoussa pas l’homme, au contraire, elle entoura ses bras autour du torse de
Végéta et continuait de l’embrasser avec passion.


« Bulma, je … je t’aime et je veux faire ma vie avec
toi, même si je ne le montrerai pas tout les jours, je t’aime vraiment et je
veux une famille avec toi.


-Que quoi, tu veux une famille, un enfant ? Tu veux
recommencer avec tes histoires de fils. Il n’en est hors de question, je veux
te donner un fils pour que tu détruises tout sur ton passage avec lui. Non non
non…. » Elle se décolla de lui rapidement. Il la rattrapa par le bras, la
fit faire demi tour et la posa sur ses genoux.


« Ne t’inquiète pas ma chérie, cette fois-ci, je veux
un enfant pour le chérir et l’aimer, autant que je t’aime toi. »


Il s’allongea sur elle et commença à dégrafer son chemisier,
tout en continuant de l’embrasser dans le cou.


Pensées de Bulma : « Il a changé, j’en suis
sure, même s’il ne me prouvera pas son amour tous les jours, il m’aime quand
même. Dommage que je n’ai pas enregistré cette conversation, il ne redira pas
cela tout le temps…. »


Après un petit moment sous la couette, Végéta ramena Bulma,
par les airs, à la Capsule Corp’. Elle alla embrasser ses parents tout en
s’excusant et la vie des Brief reprenait son cours normal.


Il ne restait plus que 1 an avant l’arrivée des cyborgs.
C’était la période de Noël et tout le monde était heureux car c’est une période
chaleureuse. Bulma décorait la maison, mme Brief faisait le repas et mr Brief
continuait ses recherches sur un nouveau projet. Végéta, quant à lui,
continuait de s’entraîner. Il n’aimait pas cette période car il faillait qu’il
s’habille correctement et surtout, Bulma avait invité la famille Son pour le réveillon.


« Je vais revoir Kakarotto grr, je ne peux pas le voir
grrr je veux le tuer, il est devenu super guerrier avant moi, le prince des
Sayen, JE VEUX LE TUER !! »
Les parois de la salle se déformaient. Il se calma, sortit et alla prendre sa
douche. Il passa devant le salon, ou Bulma décorait le sapin. Il s’arrêta 5
secondes puis reprit son chemin. L’eau chaude, bouillante de la douche le
cuisait et la fatigue arriva plus vite que prévue. C’était son endroit préféré,
il aimait rester des minutes et des minutes sous l’eau qui coulait. Il entendit
la porte de sa chambre s’ouvrir, une fine ombre passa devant le cabinet de
douche et il aperçu Bulma devant lui.


« Je t’ai déposé tes habits sur ton lit, n’oublie pas
de les mettre car ce soir on reçoit du monde à la maison. » Elle repartait
quand elle se sentit attirer sous l’eau, par une main ferme et forte.


« Non lâche moi, je vais être trempée, je suis toute
habillée, arrête…. »Elle n’eut pas le temps de gronder son amant qu’il
était déjà en train de l’embrasser dans le cou, tout en lui enlevant ses
vêtements.


Après un break sous la douche, nos deux tourtereaux se
séparèrent, Bulma alla mettre sa plus belle robe, se maquilla et se coiffa,
tandis que Végéta végétait sur le smoking qu’il devait porter. Hors de question
de ressembler à un pingouin. Il se dirigea vers la chambre de Bulma, elle était
habillée d’une robe rouge pétant, avec des boucles d’oreilles rouge et de fines
chaussures rouges (tout dans le rouge !!)


« Tiens, tu tombes bien, veux-tu me fermer ma robe sil
te plait, je n’y arrive pas toute seule.


-Je ne suis pas là pour ça, je ne veux pas ressembler à un
pingouin, je veux porter mes vêtements normaux !


-Ah non tu mets ce beau smoking, il m’a coûté une fortune et
Songoku en aura un aussi alors…


-QUOI Kakarotto aussi, alors là il est hors de question que
je mette les mêmes vêtements que ce minable !


-Bon très bien fais comme tu veux mais sil te plait, ferme
moi cette fichue robe ! »


Il s’exécuta, tout content d’avoir gagné contre Bulma.


En passant, il lui vola des baisers dans la nuque, dans le
cou, puis sur la bouche de sa bien-aimée.


Il retourna dans sa chambre, fier mais entendit un drôle de
bruit provenant de la douche : de l’eau boueuse, mélangée à des cheveux
bleu violet était remontée des tuyaux de la plomberie.


« AAAAAaaaaah qu’est ce que c’est que cette
odeur ? BUUUULMAAAAAA ! »

Encore encore encore

parce que cest toi, et que cest mon jour de bonté, je mets de suite, un autre chapitre ^^







CHAP 8 : Une Etrange Trouvaille


Bulma tressaillit aux hurlements de Végéta, si bien qu’elle
fit une énorme trace de rouge à lèvres, sur sa joue gauche. Elle sentit la
moutarde montée. Elle entra violemment dans la chambre de Végéta et se dirigea
vers la salle de bain.


« Est-ce que je peux savoir pourquoi tu hurles comme
ça ? J’ai complètement raté mon maquillage à cause de toi ! Qu’est ce
qui se passe encore ?!!


-Ne hurle pas comme ça, je ne suis pas sourd. Et puis
regarde ta douche, c’est pourri comme système et ça pue, il est hors de
question que je reste dans cette chambre. Prépare m’en une autre
FEMME !...


-Comment oses-tu m’appeler ainsi alors qu’on est ensemble,
sale goujat. Je ne suis pas à tes ordres, je suis ta petite amie, parles moi
autrement !


-Petite a…. keuf ! Très bien dans ces cas là, je m’en
vais salut. »


Végéta était parti de la chambre, furieux du ton que Bulma
avait emprunté. Il l’avait planté comme une vieille chaussette pourrie. Elle
n’y faisait pas attention, elle était trop préoccupée par les cheveux bleus
violets qui ressortaient de la douche.


Cette chambre n’avait jamais était la sienne et elle n’avait
pris que une ou deux fois sa douche avec Végéta, il était donc impossible que
tous ces cheveux, qui ressortaient fussent à elle. Elle appela son père, qui
monta en quatrième vitesse et il commença à démonter la plomberie et les
invités allaient arriver dans environ une petite heure. Mme Brief monta à son
tour :


« Non mais que fais tu là ? Et ton smoking tout
neuf, tu y as pensé ? Ralala arrête tout de suite, tu t’en occuperas
demain. !


-Bon très bien, mais j’ai bien peur que notre cher Végéta ne
puisse y dormir cette nuit, il va falloir lui préparer une autre chambre….
Bulma youhou tu es avec nous ?


-Euh oui papa mais je me demandais à qui appartenait tous
ces cheveux ? Certainement pas à moi, ce n’était pas ma chambre avant.
C’est bizarre. Bon en faite ou est passé Végéta !? Je vais lui préparer
une autre chambre. Véééégééétaaaa ? Ou es tu ? »


Elle arriva dans le salon, il était assis sur le canapé,
feuilletant un magazine people de Bulma. Cela ne lui ressemblait pas du tout.


« Aah tu étais là je t’appelle depuis tout à l’heure tu
aurais pu me répondre. Viens, je vais te montrer ta nouvelle chambre, il faut
que tu mettes tes affaires dedans. Je vais te donner un coup de main.


-Je n’ai pas envie, fais le toi.


-Mais Végéta, je peux pas tu as beaucoup trop d’affaires et
puis les invités arrivent dans très peu de temps alors il faut qu’on le fasse
tous les deux, pour que ça aille plus vite.


-Grr cet idiot de Kakarotto va bientôt arriver, je ne veux
pas le voir. Viens allons y. »


Ils firent plusieurs allers-retours, avec beaucoup d’objets
qui appartenaient au prince. Quinze minutes après, ils avaient enfin fini. Ils
s’assirent sur le lit, pour se reposer un peu. Soudain, Bulma sentait une main
parcourir le bas de son dos, remonter vers sa nuque. Végéta ne semblait pas
fatigué et commença à l’embrasser dans le cou. Bulma se dégagea, elle ne
voulait pas froisser sa belle robe, et les invités allaient arriver.


« Pff tu préfères tes invités à moi, pour la peine, je
reste dans ma chambre, je ne veux pas voir Kakarotto. »


Végéta bouda toute la soirée dans son coin mais il
s’ennuyait affreusement, seul. S’il avait passé la soirée, seul, il ne voulait
surtout pas passer sa nuit, seul. Entendant que les invités allaient partir, il
descendit les escaliers doucement et tomba nez à nez avec Songoku, la seule
personne qu’il ne voulait absolument pas voir.


« Tiens bonjour Végéta, alors ou étais-tu ? On a
passé une très bonne soirée, je te téléphonerai un de ces jours, pour qu’on
puisse s’entraîner ensemble, aller bonsoir Végéta a+ »


Végéta n’eut pas le temps de répliquer la moindre phrase,
Songoku était parti très vite, c’était le principal.


Végéta mourrait de faim. Il se préparait un encas, lorsqu’il
sentait une aura, plutôt faible, approcher de lui. Il se retourna et fit peur à
Bulma qui tomba par terre.


« Humrf c’est pas juste, c’est toi qui aurait du avoir
peur…


-Et alors, je t’ai senti arriver, c’est pour cela que je
t’ai fait peur… Que me veux tu ?


-La maison est rangée, je vais me coucher à demain Végéta
dors bien.


-Mmmmoui c’est ça. »


Bulma s’éloignait de la cuisine tout en baillant et
s’étirant. Elle passa devant l’ancienne chambre de Végéta et pensa à la
touffe de cheveux qui ne lui appartenait pas. Trop fatiguée pour y réfléchir,
elle avança à sa chambre, ouvrit la porte et s’effondra sur son lit. Elle
sentit des bosses en dessous d’elle. Elle tâtât sa couette et sentit comme un
corps, plutôt musclé. Elle alluma la lumière en toute vitesse et souleva la
couette : Végéta était installé confortablement dans le lit et attendait
sa belle. Il avait devancé sa belle, alors qu’elle contemplait sa douche de sa
chambre.


« Je peux savoir ce que tu
fais là ? Tu as une chambre, on l’a emménagé tout à l’heure, tu te
souviens.


-Je me suis trop ennuyé pendant cette soirée, je ne veux pas
rester seul et puis maintenant que je suis couché, je ne vais pas
relever. »


Bulma ne s’énerva pas plus que cela, au contraire, ça lui
plaisait que celui qu’elle aime soit là, avec elle, et ce toute la nuit. Elle
hésita à prendre sa douche, elle était trop fatiguée, elle se passa des
lingettes nettoyantes sur le visage et le corps et alla se coucher à côté de
Végéta. Il s’était endormi en attendant Bulma. Elle ne voulait pas le
réveiller, lui caressa brièvement les cheveux, vola un baiser sur ses lèvres et
se coucha à son tour. C’est alors qu’elle sentit un bras ferme l’attraper par
la taille et l’approcher contre un corps chaud et musclé. Végéta l’embrassait
et s’endormit, la tête sur sa poitrine, entre les bras de la jeune femme.

C'est mimi le grand et fier prince de l'espace qu'il est, est tout simplement fou d'amour pour elle.

Chap 9 !!!






CHAP 9 : Le Secret Dévoilé
et Le Changement de Personnalité


Le lendemain arriva très vite.
Les fêtes sont finies et la vie à la Capsule reprenait, tranquillement :
Mr et Mme Brief vaguaient à leurs occupations : inventions et fourneau,
Végéta s’était remis à l’entraînement, plus énervé que jamais car il ne pouvait
croire qu’il est encore couché avec une femelle terrienne et surtout qu’il lui
avait dit qu’il était devenu gentil et qu’il voulait une famille avec elle, au
moins, son entraînement était vif et Bulma s’empressait de réparer la douche de
Végéta. Elle se posait toujours la même question : à qui appartenait ces
cheveux mauve et bleu ? Car elle en était persuadée, cette chambre n’avait
jamais été la sienne auparavant. Elle mit beaucoup de temps à réparer car
l’odeur des canalisations lui était insupportable, elle faillit vomir plus
d’une fois.


Elle réussit à extraire une
énorme touffe de cheveux qui s’était logée dans le fond du tuyau. Elle préleva
plusieurs mèches afin d’effectuer des recherches ADN dans son labo. Les
résultats n’arriveraient que dans une quinzaine de jours, elle n’avait pas la
patience d’attendre :


« MAMAN !!!


-Oui ma chérie, qu’y
a-t-il ? Tu as un problème ?


-Oui j’en ai un et je veux, ou
mieux j’exige, que tu me donnes des explications sur cela ! » Son ton
était monté très haut, et elle montrait la touffe de cheveux qu’elle avait
ressorti de la canalisation.


« Oh mais c’est dégoûtant et
ça pue ! Mets vite ce truc à la poubelle ! …. Tiens regarde, j’ai
fait des petits gâteaux tu m’en diras des nouvelles huhu.


-MAMAN NE CHANGE PAS DE SUJET, ce
ne sont pas mes cheveux, ils étaient coincés dans la douche de la chambre de
Végéta, et ce ne sont pas les miens car cette chambre n’a jamais été la mienne.
Alors ne me ment pas et parle, je t’écoute.


-Ma petite Bulma, je trouve que
le ton que tu emploies est très mauvais envers moi, alors tu te reprends et
goûtes ses gâteaux. Non mais…


-AAAh MAMAN, tu ne m’as jamais
parlé sur ce ton, je donne les ordres et je veux que tu me dises à qui
appartienne ses cheveux.


-Bon ma fille, je crois que nous
n’avons jamais été honnête avec toi, ton père et moi. Alors que tu n’étais
encore qu’un petit bébé, d’à peine 1an, nous étions une famille unit et
heureuse…à 4. J’avais à peu près ton âge, ton père n’avait que quelques années
de plus et Malack, ton grand frère, avait 9ans. L’accouchement de Malack avait
été très difficile, ton père a donc était très gentil et doux avec moi alors…


-Ah arrête sil te plait, je ne
veux pas plus de détails, p i t i é !


-Bon très bien, donc je te disais
que ton père était très doux et gentil et je suis retombée enceinte très vite,
de toi et j’ai beaucoup hésité à te garder, car je n’avais pas encore
« digéré » l’accouchement difficile que Malack m’avait procuré. Alors tu sais comme moi qu’il
faut au moins 3 mois avant d’avorter, et encore, j’ai donc beaucoup réfléchit
et j’ai décidé de te garder car je trouvais que j’étais un vrai monstre
d’enlever la vie à un tout petit être.


-Ce…cela veut dire que j’ai eu un
grand frère ? Oh si je m’attendais à cela. Mais
pourquoi ne me l’avoir jamais dit ?


-C’est parce que…un soir, j’avais
couché Malack dans son lit, un courant d’air s’était infiltré dans la chambre.
La fenêtre était pourtant fermée. Je regardais un peu partout dans la chambre
et ne vit rien alors j’ai couché ton frère et suis partie te coucher toi, tu
étais avec ton père, il te racontait une histoire. Je me dirigeais vers la
porte et je sentis des pas courir derrière moi. Un coup, assez violent m’a été
porté à la nuque, j’ai perdu connaissance tout de suite. Ton père avait entendu
un boom, une masse tombée par terre, mais bien sur j’avais une belle ligne tout
comme toi ma chérie, il est donc venu voir ce qui se passait et m’a vite
ramassé. Quand il a levé les yeux vers le lit, Malack avait disparu, il n’y
avait que morceau de papier, avec une langue étrangère, incompréhensible pour
nous les terriens. Nous étions sous le choc et nous ne t’avons rien dit, nous
avions très peur de ta réaction. »


Bulma s’assit tout doucement.
Elle sentait ses jambes tremblées, toutes molles. Elle prenait sa tête dans ses
mains et sentait de petites perles de sel arriver aux coins des yeux, alors
elle avait un grand frère, qui s’appelait Malack et il a été enlevé quand elle
était bébé. Elles restèrent longtemps la tête baissée, à fixer un point au
hasard. Beaucoup d’idées passèrent dans la tête de Bulma, elle était sous le
choc de ce que sa mère lui avait conté.


La soirée arriva très vite, Mme
Brief n’avait pas la tête à cuisiner, Bulma n’avait aucunement faim, elle resta
enfermée dans son labo toute la journée et s’enferma ensuite dans sa chambre.
Ses parents se couchèrent vite aussi, n’ayant aucun moral et Végéta continuait
son entraînement, n’étant au courant de rien sur cette histoire. Il arrivait à
s’entraîner correctement car il avait réussi à oublier cette femme, il avait
même passer à 100G de plus que ce qu’il avait programmé. 23h sonnaient, il
avait très faim et était assez fatigué. Il sortit de sa salle et se dirigea
vers la cuisine, pensant déjà les bons plats cuisinés par la mère de Bulma. Il
entra dans cette pièce et ne ressentait aucune odeur. La table était déserte,
aucune nourriture n’était préparée, rien du tout. Il sentit sa colère monter.
Il faillait tuer quelqu’un, se défouler, exploser et il ne trouvait qu’une
seule victime : Bulma.


Il monta 2 à 2 les escaliers,
prit sa douche et se présenta devant la porte de la chambre de la jeune femme.
Il hésitait à frapper, un homme de son rang n’avait pas à faire ce genre de
révérence. Il entra, doucement et se glissa à travers la pièce. Il approcha
vers le lit de Bulma, et la vit, endormie et surtout plus belle que jamais. Non
il ne devait pas céder à la tentation, il avait enfin réussi à la faire sortir
de sa tête. Un grognement provenant de son estomac avait fait réagir Bulma,
elle ouvrit un œil, puis l’autre et se les frottait pour voir un peu plus net.
Elle aperçu une carrure et une silhouette très impressionnante, ce qui la fit
sursauter. Elle n’avait pas reconnu Végéta et s’apprêtait à sortir son arme
secrète du tiroir de sa table de nuit : un livre, lorsqu’elle fut
rapidement rattrapée par une poigne de main assez ferme. Elle sentit les os de
son poigné réagirent à la douleur. Elle hésitait à crier, elle ne voulait
affoler personne, après tout ce n’était que Végéta, le Végéta qu’elle croyait
connaître maintenant par cœur. Son cœur battait de plus en plus vite et de plus
en plus fort. Elle ne sentait presque plus son poigné mais ne voulait pas se
montrer faible face à Végéta, elle se redressa face à lui, les yeux dans les
yeux. Elle savait que ses yeux, bleu océan, étaient un atout pour elle
infaillible. Son plan marchait, Végéta perdit tous ses moyens face à ses
prunelles mais il se redressa vivement :


« POURQUOI N’Y A-T-IL PAS à
MANGER POUR MOI ? »


Aucuns sons ne sortaient de la
bouche de Bulma, elle n’avait la tête à se disputer, alors qu’elle était encore
choquée sur la révélation qu’elle avait apprise plus tôt dans la journée.


« Femme répond i m m é d i a
t e m e n t, ou est mon repas ?


-Oh ma mère n’avait pas envie de
cuisiner aujourd’hui, elle t’a un peu oublié…


-Comment !!? Mais ça ne va
pas ? Va vite me préparer à manger, j’ai eu une journée difficile à
m’entraîner !


-Je ne suis pas à tes ordres
alors arrête de me prendre pour ta boniche. »


Végéta serrait de plus en plus
fort le poigné de Bulma, sans s’en rendre compte.


« AAah arrête de me serrer
la main, tu me fais mal Végéta !


-J’arrêterai si tu me fais à
manger Femme !


-D’accord d’accord mais je t’en
supplie lâche moi !! »


Végéta lâcha prise, le sourire du
vainqueur sur ses lèvres, il avait encore réussi à être le meilleur.


Bulma se passa de l’eau chaude
puis froide sur son poigné. Il était rouge, avec des marques de doigts. Elle
commençait à pleurer, mais ne voulait pas le montrer au prince. Elle sécha vite
ses larmes et entama sa marche vers la cuisine, derrière elle marchait le
Sayen.


Il s’installa dans la cuisine et
fixa la jeune femme en train de lui préparer la nourriture. Elle mit beaucoup
de temps à ouvrir une quelconque boîte, étant donné qu’elle n’arrivait presque
plus à se servir de sa main gauche.


« Femme ! Dépêche
toi ! J’ai faim.


-Si tu crois que c’est si facile,
tu n’as qu’à le faire, tu m’as presque brisé la main tout à l’heure, soit tu
patientes, soit tu te débrouilles.


-Grr » Seul son émit par le
prince. Il se leva, se dirigea vers elle et prit la boîte qu’elle essayait
d’ouvrir depuis tout à l’heure. Il l’ouvrit avec une seule pichenette et la
rendit à Bulma. Il regarda sa main et vit qu’elle était un peu enflée. Il
n’avait pas été si conscient de sa force lors de l’acte. Il s’en voulait un
peu.


15 minutes suffirent pour que
tous les plats soient près. Bulma était vite remontée dans sa chambre car elle
ne voulait pas faire face à un homme qui changeait de caractères, comme de
chemises. Il lui avait quand même dit qu’il voulait une famille avec elle et
qu’il était devenu un ami sur qui on pouvait compter. Maintenant, il était
redevenu agressif, égoïste et méchant.


Elle arriva à sa chambre et
s’assit sur le bord de son lit, tout en examinant sa main, elle était belle et
bien enflée. Prise par la fatigue, elle s’allongea sur son lit et sentit un
tube, plutôt froid, sous son dos. Elle se releva et vit qu’il s’agissait d’un
tube de pommade contre la douleur et les hématomes. Végéta avait pris soin de
lui apporter, le temps que le repas cuise. Finalement, il avait un bon fond
avec elle, mais de temps en temps….

double post, ok, mais bon, si je veux continuer à poster, faut bien !!!
bref
CHAP 10









CHAP 10 : Si Doux…


Végéta avait fini de manger et
avait laissé la cuisine (oui on peut le dire) en bordel ! Il monta dans sa
chambre et se coucha directement. Il repensa à la façon dont il avait traité
cette pauvre Bulma. Il s’en voulait, un tout petit peu et devait mettre
les choses au claires une bonne fois pour toute.


Il alla vers sa chambre et entra
sans frapper. Il ne la vit pas dans son lit et aperçu de la lumière dans sa
salle de bain. Il regarda discrètement. Elle se mettait une bande avec de la
crème sur son poigné, du moins elle essayait car avec une seule main pour bander
l’autre, ce n’était pas facile. Soit la bande ne tenait pas soit elle y
arrivait mais elle n’était pas assez rapide pour mettre le sparadrap. Végéta ne pouvait s’empêcher de pouffer de
rire, ce qui attira l’intention de Bulma :


« Si tu trouves cela si
drôle, tu peux essayer de le faire et tu verras que c’est pas si facile,
idiot !


-Comment oses-tu me parler sur ce
ton ? Rien ne me résiste, même pas un petit bandage de rien du
tout ! »


Il lui prit la main vivement mais
pas trop fortement et lui fit un bandage parfait, ni trop serré, ni trop lâché.


Bulma ne savait que dire, elle
était stupéfaite par la si douce intention de Végéta, ces doigts étaient doux
sur sa peau, il ne la serrait pas pour ne pas lui faire mal, il était inspiré
par son travail « d’infirmier ». Bulma le regardait faire, elle
ressentait enfin l’homme qu’elle aimait, l’homme doux, affectueux et gentil.
Mais elle savait que ce genre de personnalité n’était pas propre à Végéta, il
ne pouvait ressentir ce genre de sentiments. Il était toujours brusque, fier et
orgueilleux, il était Végéta le prince des super guerriers « point ».
Elle était séduite par cette double face de cet homme, à la fois mystérieux et
doux.


Végéta avait fini depuis
longtemps et fixait Bulma qui elle-même fixait sa main.


Il ne pouvait retomber dans le
piège de cette séduisante femme, il avait déjà eu assez honte comme ça pour
rechuter. Il lâcha sa main et la fixait toujours. Elle le fixait à son tour
désormais. Ils étaient très peu éloignés,
peut être trop près pour le Sayen et trop loin pour Bulma. Il fallait arrêter
cette pathétique scène qui était pour les faibles. Il coupa net :


« Bon tu n’as plus besoin de
moi alors salut »


Ce fut bref mais direct. Il
sortit de la salle de bain d’un bon pas pour ne pas faire demi tour, il voulait
de cette terrienne, elle lui donnait envie de l’embrasser, de la caresser, mais
il ne devait pas… il réussit à aller contre ce que son cœur lui dictait, la
fierté ayant repris le dessus. Il resta plusieurs secondes adossé derrière la
porte pensant qu’elle allait s’ouvrir. Il n’avait pas la patience, il ne savait
pas quoi faire. Il était venu régler ses comptes une bonne fois pour toute afin
d’avoir la conscience tranquille. Il n’avait pas eu le courage, il se sentait
sale, l’échec lui collait à la peau.


Il retourna dans sa chambre mais
n’arrivait pas à dormir, beaucoup trop pensif pour fermer l’œil.


Quant à Bulma, elle était restée
immobile dans sa salle de bain, (le temps que Végéta était derrière la porte),
elle hésitait à courir le rejoindre, fondre dans ses bras et passer la nuit
avec lui. Il avait sa fierté, elle ne voulait pas trop empiéter son territoire,
elle avait donc décidé de le laisser tranquille pour cette nuit.


Elle ne trouvait pas le sommeil
non plus, elle se demandait si c’était de même pour Végéta.


Elle se leva, rien ne sert de
rester allongée autant s’occuper ; elle alla dans son labo mais ne
trouvait rien à faire. Elle alla donc s’asseoir sur le banc extérieur pour
admirer les étoiles. La nuit n’était pas si fraîche que cela pour un mois de
Février. Elle s’était emmitouflée dans sa couette. Elle repensa à sa journée,
bien mouvementée. D’abord l’existence d’un supposé frère, puis la confrontation
avec Végéta. Elle ne savait plus ou donner de la tête. Elle savait qu’en
tombant amoureuse de Végéta, ça n’allait pas être rose tous les jours mais elle
s’en fichait.


Elle repensa à son frère. Où
pouvait-il être ? Était-il toujours vivant ? Lui
ressemblait-il ? A vrai dire, oui car il a les cheveux mauves. Elle admira
toutes les étoiles « Peut-être es tu sur celle-ci ? Ou bien
alors sur celle-là ? J’aimerai tellement te voir. »


Elle souffla de l’air chaud dans
ses mains et vit sa bande ; il ne lui fallait pas grand-chose pour penser
à autre chose. Végéta. Ce nom la hantait. Elle ne savait plus ce qu’elle devait
penser… de lui ? d’elle ? d’eux ?


Elle ne sentait pas le regard
insisté sur elle depuis le balcon. Il était là, avait tout entendu, son frère
et lui. Elle était donc amoureuse de lui. Lui qui voulait l’oublier après
l’humiliation ressentit… il sentit l’air frais se balayer sur son visage, il
semblait plus détendu que d’habitude, il se sentait bien dans cette maison, un
peu trop bavarde. Il avait eu du mal au début, n’ayant jamais vécu dans une
atmosphère d’amour et de tranquillité.


Il avait froid, lui si fort et si
robuste. Il n’avait pas lâché Bulma des yeux. Elle frissonnait mais restait
dehors. Il ne pouvait la voir ainsi, prendre froid :


« Tu ferais mieux de rentrer
si tu ne veux pas mourir ! »


Bulma se retourna vivement,
l’impression qu’elle donna avec ses cheveux fit parcourir des frissons dans le
dos de Végéta.


« Ah bon, tu vas me tuer si
je reste dehors, je ne savais pas que c’était si dangereux !


-Ce n’est pas ce que j’ai voulu
dire, idiote, si tu restes plus longtemps
dehors, tu ne feras pas de vieux os, même avec cette couette sur le dos.


-Depuis quand ça
t’intéresse ?


-Je ne dis pas cela pour toi,
c’est juste que si tu meures, moi, je n’aurai plus de salle d’entraînement.
Donc tu rentres tout de suite femme !


-Je fais encore ce que je veux,
je suis ici chez moi !


-Oui mais c’est moi qui donne les
ordres ici alors qu’attends tu ? Que je vienne te chercher ?
ENTRE !


-Eh bien oui, tu n’as qu’à venir
si tu es si soucieux pour ma santé »


Il n’en revenait pas, elle lui
tenait encore tête mais ça n’allait pas se passer comme cela. Il sauta sur la
rambarde du balcon et se jeta dans le jardin, atterrissant devant la jeune
femme. Jamais elle n’aurait cru qu’il le ferait. Il l’attrapa par la
taille et l’emmena dans sa chambre. Elle se débattait mais savait que ça ne
servait à rien, il était beaucoup plus fort. Il la déposa sur le lit et fut
entraîner avec elle. Les voilà ainsi, trèès rapprochés. Leurs yeux se
rencontrèrent, chacun perdu dans ceux de l’autre.


Pensées de Bulma :
« que se passe t il ? Je ne peux pas le repousser, ses yeux sont
tellement mystérieux et envoûtants, je suis comme paralysée… » Elle
commença à approcher ses lèvres aux siennes


Pensées de
Végéta : « Mais que dois je faire ? Elle est tellement
douce et gentille avec moi. Elle est la seule à me tenir tête. Hein !!
Mais que fait elle ? Ses lèvres…sucrées…fruitées…je dois résister, je ne
peux pas être ainsi faible. » Végéta ne se contrôla plus, il approcha lui
aussi ses lèvres et ils commencèrent un baiser onctueux, savoureux, passionné.
Les mains se baladaient espérant arrachées les vêtements de l’un comme l’autre.
Il faisait chaud dans la chambre, la buée arrivait sur les fenêtres. Végéta
s’attaquait au cou de la jeune femme tandis qu’elle essayait désespérément de
lui arracher son pantalon. Végéta en prit conscience et se releva pour le faire
lui-même. Il s’assit donc sur le rebord du lit et déboutonna ses boutons. Bulma
regardait son plafond, toujours très réflexive. Elle pensait à la nuit qu’elle
allait passée et pleins de pensées lui arriva dans la tête : elle allait
coucher avec Végéta, qui dit coucher avec quelqu’un dit se protéger et sans
protection, accident. Elle réfléchissait qu’elle ne s’était encore jamais
protéger avec lui. Elle eut peur, peur d’avoir cet accident et de tomber
enceinte.


A cette idée, elle repensa à son
frère. Etait il un accident ? Et elle ? Elle aurait tellement aimé le
connaître un jour, elle avait beau y réfléchir, elle ne trouvait aucun moyen… à
moins que…


Végéta était enfin en boxer et recommença
son travail. Il était déchaîné et n’allait pas laisser sa victime s’en tirer à
si bon compte. Il embrassa son ventre et remontait vers sa poitrine. Soudain,
Bulma se releva et eut une idée absolument géniale (Faites comme si vous voyez
une ampoule allumée au dessus de sa tête avec un gros EURéKA !!!). Végéta
se releva aussi, se demandant ce qui se passait d’un seul coup. Sa mauvaise
humeur revenait, il se sentait rejeté. Bulma le regarda :


« Euh attends Végéta, il
fait que j’aille faire un truc, j’en ai pas pour longtemps ne bouge pas, je
reviens, attends moi


-Non mais tu me prends pour
qui ? Je ne suis pas un objet pour
assouvir tes désirs ! Remarque je devrais te remercier, tu m’as interrompu
alors que j’allais encore faire une énorme bêtise. Aller salut


-Non attends, c’est juste que je
viens d’avoir une idée pour retrouver mon frère, il faut que je la note c’est
tout et puis j’ai pensé qu’on pourrait aussi se protéger, t’imagines si je
tombais enceinte de toi ? »


Les yeux de Végéta ressortaient de
ses orbites. Comment, cette femelle ne s’était pas protéger depuis tout ce
temps. L’idée d’avoir put faire un accident, un bâtard le dégoûtait. Il n’avait
jamais pensé à se protéger car la contraception ne concernait que les femmes,
c’était à elle de s’en occuper.


Il s’énerva, il ne pouvait pas
continuer comme cela. Il aurait put avoir un « bâtard » avec cette
femme.


Bulma se leva et comprit la
colère du prince, elle décida donc de noter vite fait, sur une feuille qui
était sur son bureau, son idée extraordinaire et se rallongea sur le lit, prête
à continuer. Tant pis pour la protection, elle ne voulait pas perdre son
Végéta. Celui-ci la repoussa. Il ne voulait pas continuer, pas dans ces
circonstances.


« Non ne m’approche pas, je
ne veux pas de « bâtard » avec toi, je ne t’ai jamais aimé de toute
façon, ce n’était que distraction. Je retourne dans ma chambre.


-Mais Végéta, tu ne peux pas dire
cela. Tu m’as avoué ton amour. Tu as encore changé. Tu n’es qu’un salaud, je te
hais !! »


Végéta était déjà parti mais
avait tout entendu. Il se sentait très mal, au fond de lui, il avait une petite
boule, juste au dessus des côtes, à sa gauche. Mais cela ne le dérangeait pas
car, après ces péripéties, il avait enfin mis les choses au claire et était
débarrassé de Bulma. Le revoilà libre comme l’air.




plutot enorme hein, dites moi

Pauvre Bulma elle en chie n'empeche avec lui

VITE la suite mademoiselle

oé oé oé
la souite



CHAP 11 : Le Départ





Plusieurs jours passèrent après
la grosse dispute entre Végéta et Bulma. Il ignorait Bulma et s’entraînait sans
s’arrêter, juste pour manger et dormir. Il faisait tout pour ressortir de la
salle très tard pour ne pas croiser qui que ce soit et surtout pas Bulma.


Bulma, quant à elle,
perfectionnait l’idée qu’elle avait eut pendant leurs ébats.


Elle avait décidé de retrouver
son frère, coûte que coûte. Grâce aux cheveux retrouvés dans la canalisation de
la douche de Végéta, Bulma et sa grande intelligence, ont réussi à construire
un radar qui émettait la position de son frère. Une boule, un point clignotait
sur le radar, il était toujours en vie. Sa boule au ventre avait enfin disparut.
Elle était enfin rassurée. Le point clignotant était situé sur une planète
assez lointaine, la planète Kzurg.


Elle était affolée et se remit
vite au boulot, à la construction de son vaisseau. Elle était déterminée à
partir à sa recherche. Son vaisseau était énorme et dessus il y était marqué
CAPSULE 4. Elle y avait construit plusieurs chambres avec salle d’eau, une
cuisine, un séjour et un jardin.





Au bout de quelques jours, le
vaisseau était enfin prêt, son départ était prévu le lendemain.


Elle était enchantée à l’idée de
faire ce voyage mais appréhendait car elle partait toute seule, dans un monde
inconnu et plein de danger. Elle avait bien demandé à Songoku, Gohan et même
Piccolo. Personne ne voulait l’accompagner, trop occupé par leurs entraînements.
Végéta avait remarqué la présence d’un nouveau vaisseau dans le jardin et il
était vaguement au courant que la jeune femme partait à la recherche de son
frère. Il était un peu inquiet que Bulma parte seule mais il sentait les vacances arrivées car sans
cette femme dans ses pattes, il pouvait être tranquille.





Bulma hésitait à lui demander de
venir. Ils étaient en froid et ne se parlaient plus. Elle préparait ses
affaires et vous la connaissez, elle eut beaucoup de mal à faire sa valise.
Végéta passait devant la porte à moitié ouverte de sa chambre. Il s’arrêta pour
voir ce qu’elle faisait. Il ne pouvait s’empêcher de pouffer de rire quand il
vit la jeune femme se battre pour fermer sa valise trop pleine.





« Si tu trouves cela si
drôle, tu peux partir, je ne t’ai rien demandé et surtout pas de rentrer dans
ma chambre.





-Grr. J’ai cru comprendre que tu
partais demain…bon débarras, je vais
enfin être tranquille. Tu devrais emmenée tes parents avec toi, je serai encore
plus tranquille.





-Non, mes parents restent, je
pars seule.





-Mm une terrienne aussi faible
que toi et aussi peureuse, partir seule ahahaha je voudrais bien voir ta tête
quand tu seras en face de méchants hommes qui seront sur le point de te tuer,
ou


pire encore… »





Bulma avala difficilement sa
salive. Elle n’avait pas pensé qu’elle rencontrerait des hommes si cruels.





« Et alors…tu t’inquiètes
pour moi ? Et depuis quand ? Si tu es si soucieux, tu peux venir, je
suis sur que ça te fera un très bon entraînement.





-Nan mais ça va pas, autant de temps
à passer avec toi, je préfère mourir !





-Pff, ce n’est pas ce que tu m’as
dit, la dernière fois, au lac et à l’hôtel, moi qui croyait que tu
m’aimais ! Bon et bien tant pis. En tout cas, si je meure je viendrai te
hanter en te répétant que


tout est de ta faute
na ! »





Bulma s’assit violement sur sa
valise pour arriver enfin à la fermer. Quand elle se retourna, Végéta avait
encore disparut.


Le lendemain arriva vite, Bulma
n’avait pas fermé l’œil de la nuit, repensant à ce que lui avait dit Végéta. Lui-même
non plus, n’avait pas dormi, la boule avait réapparu au plus profond de son
cœur.





7h00 sonna au réveil de Bulma, à
vrai dire, le réveil ne servait à rien puisqu’elle était réveillée. Elle prit
une douche bien chaude, se coiffa et s’habilla. Elle descendit dans la cuisine
et y trouva sa mère et le guerrier. Elle ne prit qu’un croissant avec un verre
de jus d’orange. Son père effectuait les derniers réglages de son vaisseau et
elle pouvait partir.


Elle installa ses affaires dans
la capsule. Elle est enfin prête. Elle s’apprêtait à dire au revoir à ses
parents. Végéta n’était pas là ce qui la rendit triste, elle aurait aimé qu’il
lui dise au revoir ou bonne chance ou encore bon courage. Mais bon de sa part,
il ne fallait pas trop rêver. Il ne l’aimait plus, il ne faisait que se servir
d’elle, comme un vulgaire objet. « Comment ai-je pu tomber amoureuse de lui ? »





Après avoir rassuré sa mère,
Bulma entra dans le vaisseau et se dirigea vers les commandes de pilotage. Son
père avait programmé la planète Kzurg. Elle n’avait qu’à appuyer sur le bouton
de démarrage, le vaisseau ferait tout le reste. Elle s’installa et appuya sur
le bouton et regretta pendant quelques secondes de ne pas avoir forcé Végéta à
venir avec elle. Les réacteurs sont mis en route, le décollage commença et
la voilà partit dans l’espace. Maintenant il fallait qu’elle s’occupe car le
voyage allait durer longtemps. Elle avait pris du matériel pour inventer
de nouveaux projets mais elle n’avait pas la tête à cela. Elle s’installa dans
son salon, une tasse de thé à la main et elle contemplait le faux jardin
qu’elle avait installé. Elle semblait pensive quand soudain elle entendit un
bruit, un rire plutôt familier. Elle se retourna et aperçu Végéta sur le pan de
la porte en train de la regarder. Elle n’en croyait pas ses yeux, il était là
devant elle. Elle ne put s’empêcher de sourire, elle était enfin rassurée par
ce voyage dans l’espace. Elle se sentait protégée avec lui.





« Mais que fais-tu là ?
Je croyais que tu voulais rester à la maison ?!





-Mm sans moi, tu n’aurais pas
tenu 2 secondes ! Et puis comme cela, je vais pouvoir m’entraîner et vivre
des aventures comme celles que j’ai que vécu dans ma jeunesse.





-Comment ça, je suis très forte
je n’ai pas besoin de toi !





-Très bien, dans ce cas je peux
repartir.





-Euh non, tu peux rester, je…je
suis désolée…Végéta.





-Bon trêve de plaisanteries,
construit moi une machine pour que je puisse m’entraîner, le voyage va durer
longtemps et je ne veux pas passer mes journées avec toi !





-Euh oui ne t’inquiète pas, je
m’y mets tout de suite mais ça ne sera pas prêt avant au moins une semaine
alors un peu de patience.





-Une semaine !! Mais je vais
faire quoi moi pendant ce temps ?





-Oh bah je ne sais pas, tu te
reposes un peu, ça te fera du bien. »





Se reposer ? Végéta ne
comprenait le sens de ce mot, il ne s’était jamais reposé de sa vie.


Il alla dans sa chambre et médita
jusqu’à la fin de la journée.


Bulma travailla sans relâche à la
construction de la salle. Le soir arriva, elle était très fatiguée. Elle devait
prendre sa douche et préparait le dîner. Elle se décontracta sous l’eau
brûlante et était assez contente d’elle.


Après s’être coiffée et habillée,
elle partit dans sa cuisine préparer le repas. Elle ne vit personne dans les
alentours. Aucunes traces de Végéta. Elle ne s’inquiétait pas, elle savait
qu’il était en train de bidouiller dans sa chambre. Il n’avait rien d’autre à
faire. La fumée du repas atteignit sa chambre rapidement et il sortit pour
aller manger. Il entra pile poil dans la cuisine, Bulma avait fini de préparer
et avait déjà servi les plats. Il s’installa et n’attendit même pas la jeune
femme pour commencer à manger ou plutôt engloutir le repas. Elle n’avait pas
très faim elle regardait le guerrier manger et sourirait lorsqu’elle vit qu’il
avait de la sauce au coin de la bouche.





« Quoi ? Tu te moques
de moi. ? Arrête !





-Euh non ne t’inquiète pas… tu as
de la sauce sur le coin de la bouche juste à droite. Ne bouge pas, je vais te
chercher une serviette.





-Je n’ai pas besoin de toi, je me
fiche d’être sale, j’ai faim.





-Bon très bien. »





Elle débarrassa son assiette et
s’installa dans le canapé, devant la télé. Végéta finit son assiette, seul. Il
ne prit pas la peine de débarrasser son assiette et alla contempler la salle
que Bulma construit. Il regarda sous tous les angles. Bulma arriva derrière
lui :





« Alors ça te plaît ?
La gravité pourra être de 400G, c’est pas mal hein !





-Mmm, oui mais je suis sur que tu
peux mieux faire, mais bon…





-Tu n’es jamais content, tu
pourrais me remercier pour tout ce que je te fais.





-Pourquoi te remercier ? Tu
obéis à mes ordres, tout ce qui est de plus normal. Bon je vais me coucher
salut.





-Bi…bien bonne nuit à demain
Végéta. »





Sur ces mots, Végéta alla se
coucher et Bulma ne tarda pas à faire de même. Mais aucun ne trouva le sommeil
facilement.





Toujours aussi énorme, ca me surprend moi meme !!!

J'adoooooooooore continue comme ça.

Rooooooooooooh vite la suiteeeeee
Je suis sur qu'il va finir craquer notre Veggie

La suite !






CHAP 12 : La Vie Recommence





Le lendemain, le réveil fut
difficile pour Bulma. Elle ne se leva que vers 12h, l’heure ou, normalement,
Végéta mangeait. Celui-ci était levé depuis plusieurs heures et vadrouillait
dans la capsule. Il ne pouvait pas supporter le fait de ne rien faire et de
tourner en rond. De plus, sa salle n’était pas du tout terminée et la créatrice
dormait à poings fermés. En milieu de matinée, il alla dans sa chambre pour
voir ce qu’elle faisait. Il entra sans faire de bruit et s’assit sur le bord de
son lit, il avait oublié comme elle était belle endormie. Il la contempla,
longuement. Il n’avait rien d’autre à faire de toute façon. Il ressentait son
cœur battre un peu plus vite. Il s’approcha et écouta son souffle régulier et
apaisant. Le jeune homme crut qu’il allait s’endormir à côté d’elle. Il était
calme. Il approcha ses lèvres et embrassa Bulma, tout doucement, un tout petit
baiser, juste pour se rappeler comment s’était. Il n’en revenait pas à quel
point cela lui manquait. C’était si doux et si agréable. Il caressa les cheveux
de sa belle et sortit tout doucement de la chambre. Il devait méditer, méditer
sur ce qui changeait en lui. Il n’était plus du tout le même que dans sa
jeunesse. Il n’était plus cet être sanguinaire qui tuait par plaisir. Il avait
ressenti de nouveaux sentiments comme l’affection, l’amour…oui car maintenant,
il en était sur, il aimait cette femme qui lui résistait, qui était si belle.
Il ne pouvait plus se passer de ses baisers et de sa peau de poupée.





Il avait faim. 12h sonnait et
Bulma venait à peine de se lever. Elle avait fait un étrange rêve : Végéta
était là et il l’embrassait, passionnément et amoureusement. « Était-ce
vraiment un rêve ? J’ai vraiment l’impression que quelqu’un est entré dans
ma chambre…et dans ce vaisseau, il n’y a que Végéta et moi. C’était donc
lui… » Bulma prit sa douche, soucieuse et sortit enfin de sa chambre pour
aller préparer le déjeuner. Végéta était installé à la table de la cuisine et
attendait désespérément, il était lui-même étonné d’avoir autant de patience.
Avant, il aurait déjà tout détruit sur son passage…avant !





« Bonjour, bien dormi
Végéta ? J’ai fait un drôle de rêve moi !





-Je me fiche de tes rêves, j’ai
faim et je n’ai pas eu de petit déjeuner ce matin car tu n’étais pas réveillée,
alors maintenant, tu me prépares à manger et vite !





-Je peux constater que tu vas
bien, moi aussi merci de me poser la question. »





Elle souriait à pleines dents.
Elle lui tenait encore tête et il aimait cela. Il ne put s’empêcher de la
regarder faire le repas. Elle était très bien habillée et assez sexy : un
petit short en jean noir avec un débardeur rouge. Elle avait remarqué qu’il la
regardait et elle le prit sur le fait :





« AHAH dis moi, pourquoi me
regardes tu ainsi ?





-Quoi ? Mais je… ne te
regarde pas tu dis n’importe quoi !!





-C’est cela c’est cela…je suis
sur que tu me trouves jolie c’est pour cela que tu me dévisages





-QUOI ??!! Je…





-Tatata n’essaie pas de te
justifier Végéta, tu es pris la main dans le sac.





-Pff »





Pour une fois, Bulma avait cloué
le bec à Végéta. Il ne savait pas quoi répliquer et décida de se taire. Il
était « vaincu » par une femme. Mais pas n’importe quelle femme,
celle qu’il aimait. Il se leva et se dirigea vers Bulma :





« Tu as gagné cette manche
mais le jeu n’est pas terminé.





-Que…quoi ? De quoi parles
tu ?





-Oh de rien ! »





Il se rassit à la place qu’il
avait quitté, les bras croisés et les yeux fermés.


Le repas était fin prêt et ils se
mirent à table. Végéta dévora ses plats et Bulma mangea tranquillement.





« Cet après-midi, je me
remets à la construction de la salle, je pense que tu as hâte de t’y entraîner.





-Mmm…





-Tu pourrais au moins
m’encourager, je suis toute seule pour le faire, c’est très dur et très long.





-Mmm…





-Pff tu ne mérites même pas mes
travaux, je ne devrais pas te la construire… je devrais plutôt profiter du
jardin et me prélasser sur ma chaise longue…oh oui, c’est une très bonne idée.





-Mmm … tu le feras après avoir
construit ma machine…





-Je fais encore ce que je
veux !





-Mmm et bien non comme tu peux le
constater, tu obéis à mes ordres et après tu feras ce que tu veux.





-Non mais ça ne va pas, il en est
hors de question, si je veux me reposer aujourd’hui, je le ferai, ce n’est pas
toi qui m’en empêchera. »





Végéta tapa son poing sur la
table.





« Je déteste qu’on me parle
sur ce ton et en plus pendant que je mange !!! »





Bulma se leva, débarrassa son
assiette et s’enferma dans sa chambre, elle ne pouvait plus supporter cette
infâme personne. Elle s’allongea sur son lit, fixa le plafond et essaya de
remettre de l’ordre dans ses idées, tout en massant ses tempes. Soudain, sa
poignée de porte se tourna mais elle avait fermé à clé. Le guerrier perdit
patience et défonça sa porte. Bulma sursauta, frôla la crise cardiaque. Elle ne
put contrôler sa colère quand elle vit sa porte défoncée :





« Non mais pour qui tu te
prends ? As-tu vu l’état de ma porte ? Détruite !! Ça se voit
que ce n’est pas toi qui répare !!





-Je me fiche de ta porte, je veux
que tu te mettes à la construction de ma salle et en vitesse.





-Ahaha laisse moi rire ! Si
tu me parles sur ce ton, tu peux toujours courir mon pauvre ami ! »





Végéta s’énerva, la veine de sa
tempe gauche ressortit et il approcha dangereusement vers Bulma. Il lui attrapa
le poignet gauche, le même qu’il a failli briser lors de leur dernière
confrontation. Il revit la scène et se rappela qu’il s’en était voulu de lui
avoir fait aussi mal. Il ne serra pas trop fort et la regarda dans les yeux…azur.
Il n’arrivait pas à crier, il ne voulait pas abîmer ce corps si beau et si
fragile. Il était comme paralysé. La jeune femme s’approchait, très vite, trop
vite, elle approchait ses lèvres, son corps contre le sien, il pouvait se
débattre, il ne voulait pas se débattre, il voulait encore goûter à ses lèvres
et ce corps. Il l’approcha violemment et l’embrassa passionnément. Ce corps à
corps lui avait vraiment manqué, Bulma n’allait pas s’en tirer comme cela. Il
l’entraîna vers le lit et lui arracha la moitié de ses vêtements. Il était très
déchaîné et s’attaqua au cou. Bulma s’accrochait à son dos. L’après-midi fut
très mouvementée dans la capsule. !





Chacun se reposa sur le lit,
Bulma avait sa tête posée sur son torse et Végéta avait entouré ses bras autour
d’elle. Il fallait qu’il lui avoue que cette fois ci, ses sentiments étaient
vraiment sincères.





« Écoute Bulma, je t’ai déjà
dit cela une fois, je crois vraiment que je suis tombé amoureux de toi. Je sais,
la dernière fois je t’ai dit la même chose, que je voulais faire ma vie avec
toi et que après je m’étais vite repris en main. Je pensais être devenu faible,
je ne voulais pas être comme Kakarotto, je voulais rester le guerrier fier et
orgueilleux. Je ne pourrais pas te montrer mon amour tous les jours, je serrai
peut être vexant de temps en temps, je t’ignorerai aussi. La vie ne sera pas
toujours rose, je préfère te prévenir.





-Cette fois ci, je crois en toi,
je suis sure que tu m’aimes et que tu ferais un très bon père. Je t’aime Végéta
et je veux accepter de faire ma vie avec toi, même si de temps en temps ça sera
dur, mais ne crois pas que je vais te faire de cadeaux non plus !! Il ne
manquerait plus cela !!!





-Mmm je vois, mais surtout, sache
qu’en public, je ne veux pas de baisers ou de « papouilles » !
J’ai encore un minimum de fierté en moi.





-D’accord, y’a aucun soucis, rien
en public, je te comprends tu sais, ça doit être dur pour toi, le prince des
guerriers de l’espace. »





Sur ces mots, ils s’embrassèrent
tendrement et Bulma se leva pour aller construire la salle de Végéta. Elle en était
sure, il avait bien changé et cette fois, c’était pour de bon.



un peu trop chou le Veggie la ....

Ah j'en etait sur ^^ tres belle suite

ten étais sure ?
de quoi tu parles ?

Au le mimi Végéta tout plein d'amour pour sa Bulma d'amour